Robert Kennedy Jr vient d'être confirmé à la tête du département américain de la santé (HHS). Son arrivée avec des équipiers de poids, le Pr Jay Bhattacharya au NIH, le Dr Dave Weldon au CDC, le Dr Marty Makary à la FDA et le Dr Aseem Malhotra comme conseiller du président Trump, laisse espérer une révolution dans la politique de santé américaine. Mais ces cinq rebelles lors de la “crise sanitaire”, défenseurs de la science et des libertés, seront‑ils à la hauteur de leurs promesses? Feront‑ils éclater la vérité sur l’origine du coronavirus, le hold‑up de Big Pharma et le désastre, présent et à venir, des injections covid? Auront‑ils le pouvoir de s’attaquer aux responsables et à la corruption du système? On veut le croire, mais on les jugera sur leurs actes. Galerie de portraits de Kennedy et ses hommes, placés aux postes clés.
Alors qu’il avait déjà pardonné son fils Hunter pour toute infraction commise depuis 2014, Joe Biden récidive à la veille de l’investiture de Donald Trump, et pardonne ce 19 janvier cinq autres membres de sa famille[1], plusieurs représentants démocrates[2], le général Milley, et surtout Anthony Fauci[3] ! Pourquoi ces pardons de dernière minute ? Fauci pourra‑t-il échapper à la justice ?
Fait inédit en Roumanie, la Cour Constitutionnelle a annulé le second tour de l’élection présidentielle roumaine. Ce scrutin devait opposer Călin Georgescu, candidat soit‑disant d’extrême droite, à Elena Lasconi, candidate libérale et pro‑européenne. La décision aurait été motivée par d’importantes irrégularités électorales et des soupçons d’ingérence russe… C’est du moins la version relayée à l’unisson par la presse du vieux continent… à l’exception notable d’un journal pourtant peu connu pour ses accointances avec l'extrême droite: Le Monde Diplomatique. Dans un article intitulé “Liquidation électorale”, Benoît Bréville propose une lecture différente de cette curieuse annulation: