BAM a publié il y a quelques mois un double article sur le “consensus” scientifique et médical artificiellement créé par des arguments circulaires, l’auto-référencement et les conflits d’intérêts [1][2]. Pour cette troisième partie, nous allons maintenant nous intéresser au cas du Professeur Cédric Hermans, hématologue à l’hôpital Saint-Luc de Bruxelles, conseiller du gouvernement, membre du Conseil supérieur de la santé, expert de plateaux télé… et bénéficiaire des largesses des laboratoires pharmaceutiques.

BAM! detox*

Fin janvier, la Cochrane Library publiait “Interventions physiques pour interrompre ou réduire la propagation des virus respiratoires"[1], une analyse invalidant complètement l’obligation du masque. Bret Stephens, journaliste et chroniqueur au New York Times, se demande si tout le monde reconnaîtra ses erreurs et si ceux qui ont été traités avec mépris auront droit aux excuses qu’ils méritent.

Les rapports concordent et relèvent une suspicion d'effet secondaire pour 5000 injections de vaccin anti-covid [1] [2]. Une étude des plus sérieuses sortie le 12 septembre 2022 se base sur le nombre d'effets secondaires graves relevés pour prévoir le risque représenté par le vaccin anti-covid pour les plus jeunes [3]. Le gouvernement et les médias semblent nier ces réalités. Les questions sont pourtant légitimes. Quels sont au juste ces effets secondaires graves ? Et quelle est leur prévalence ? BAM! répond de la façon la plus objective possible, en se basant exclusivement sur les données officielles.

Alors que les médias annoncent une énième vague qui n’arrive pas, les laboratoires tentent à tout prix de vendre leurs derniers produits COVID. En vain, la pandémie ne fait plus recette…

Dans un article paru le 6 septembre dans The Telegraph, le Dr Patrick Brown affirme que les recherches allant à l'encontre du discours dominant sur le changement climatique sont "taboues" dans certains journaux. Il reconnaît qu’il a volontairement “édulcoré” ses recherches afin d’être publié.

Trois petits mots à propos des myocardites qui n’existent (presque) pas

Alors que la myocardite est progressivement reconnue comme un effet secondaire du vaccin COVID, le CDC (organisme censé protéger la population) tente de montrer que le COVID provoque plus de myocardites…
Hélène Banoun, pharmacienne, biologiste et chercheuse, montre qu’il n’en est rien.

Après avoir été mise sur la sellette dans le Lancet Gate, la célèbre revue médicale a‑t-elle “arrangé” un graphique pour alerter sur la surmortalité causée par la chaleur ?

L’équipe de BAM ! a retrouvé une publication de la KUL datant du 19 février 2020[1], soit un peu moins d’un mois avant le premier confinement, confirmant qu’un traitement à la Chloroquine était efficace contre les coronavirus.