Un mémo interne de la FDA, obtenu par le New York Times[1], marque une rupture historique : pour la première fois, l'agence reconnaît officiellement que les vaccins anti‑COVID ont causé la mort d'au moins dix enfants. Cette admission bouleverse quatre années de communication officielle qui affirmait qu'« aucun décès d'enfant n'avait été causé par les vaccins ».
En Allemagne, plus de 200 médecins et scientifiques ont signé une déclaration demandant la suspension temporaire des vaccins à ARNm contre le Covid‑19[1]. L’initiative met en lumière un ensemble de critiques sur la gestion scientifique et politique de la vaccination. Les signataires estiment que les lacunes dans l’évaluation et la surveillance imposent un retour au principe de précaution.
Une nouvelle étude internationale pluridisciplinaire, réalisée par 35 chercheurs et revue par les pairs, offre une lecture critique de la gestion de la pandémie. Publiée dans l’International Journal of Public Health, revue scientifique affiliée à la prestigieuse Swiss School of Public Health, elle dénonce une dépendance excessive aux modèles prédictifs, une évaluation biaisée des mesures sanitaires, ainsi que la marginalisation de perspectives scientifiques discordantes. Ce travail appelle à repenser en profondeur la gouvernance sanitaire en temps de crise, à l’heure où des cadres juridiques permanents — comme la « loi pandémie » en Belgique — ou l’Accord international sur les pandémies de l’OMS, entérinent précisément les dérives que cette étude dénonce.