Publié le 4 décembre 2024, le rapport final de la Commission spéciale sur la pandémie de coronavirus de la Chambre des représentants des États‑Unis, dénonce certains aspects de la gestion de la pandémie de COVID‑19 et de la campagne de vaccination.
Nous avions déjà pointé du doigt les nombreuses pathologies liées aux vaccins COVID[1]. Désormais, 263 études revues par les pairs confirment que la protéine spike, composant clé des vaccins à ARNm, agit comme un pathogène indépendant, capable de provoquer des dysfonctionnements cellulaires et systémiques graves. Cette situation est d’autant plus préoccupante que la production de spike lors des injections est plus intense chez les jeunes, et que la quantité produite varie considérablement d’un individu à l’autre, rendant le vaccin encore plus toxique… ou encore moins efficace.
Le professeur Christoph Berger, président de la Commission fédérale pour les vaccinations en Suisse et expert en maladies infectieuses, connu pour avoir soutenu activement la campagne de vaccination dans les médias, adopte désormais une approche critique envers les mesures prises durant la crise.