Selon l'expert numérique Fabrice Epelboin[1], la France complète le podium européen de la censure, juste derrière la Russie et la Turquie[2][3]. Tandis que Moscou et Ankara bloquent ouvertement les voix dissidentes au nom de la « sécurité nationale », Paris préfère une approche plus subtile : des signalements massifs via des ONG subventionnées et des autorités comme l’ARCOM, qui forcent les plateformes à plier sous peine d’amendes colossales. Résultat ? Une censure qui n’a pas besoin de geôles pour faire taire : il suffit d’enterrer les idées dans l’incinérateur algorithmique.
Le député Gerald Hauser multiplie les interpellations au Parlement européen sur Blue Orchid, un exercice pandémique organisé par la Commission en février 2019. Confirmé par Bruxelles, il reste néanmoins entouré d’un épais mystère.
Cela aurait dû faire la Une. Et pourtant, les grands médias sont restés silencieux : Mark Rutte, ancien Premier ministre néerlandais, et l’OTAN, son nouvel employeur, sont poursuivis devant la justice à Bruxelles.