Un mémo interne de la FDA, obtenu par le New York Times[1], marque une rupture historique : pour la première fois, l'agence reconnaît officiellement que les vaccins anti‑COVID ont causé la mort d'au moins dix enfants. Cette admission bouleverse quatre années de communication officielle qui affirmait qu'« aucun décès d'enfant n'avait été causé par les vaccins ».
Le mémo qui change tout
Le vendredi 29 novembre 2025, le Dr Vinay Prasad, directeur du Center for Biologics Evaluation and Research (la division vaccins de la FDA), a adressé à l'ensemble de ses équipes un document de trois pages qui restera dans les annales de la santé publique américaine.
« Il s'agit d'une révélation profonde », écrit‑il sans détour. « Pour la première fois, la FDA américaine reconnaîtra que les vaccins Covid‑19 ont tué des enfants américains. »
La phrase est sans équivoque. Pas de conditionnel, pas de nuance : les vaccins COVID ont tué des enfants.
Selon le document obtenu par le New York Times et publié le 28 novembre, une revue interne récente a établi qu'au moins dix décès pédiatriques sont directement liés aux vaccins à ARNm, la plupart par myocardite survenue dans les jours suivant l'injection. Prasad promet que « les données détaillées seront publiées dans les prochaines semaines ».
Quatre ans de déni officiel
Le contraste avec les déclarations officielles de 2021‑2024 est saisissant.
Pendant quatre ans, la FDA, le CDC et l'ensemble des agences fédérales ont martelé le même message : « aucun décès d'enfant n'a été causé par les vaccins COVID » et le rapport bénéfice‑risque reste « extrêmement favorable » même chez les moins de 18 ans. Toute suggestion contraire était immédiatement étiquetée comme « désinformation » et censurée sur les réseaux sociaux.
Des milliers de parents qui signalaient des effets secondaires graves, des médecins qui questionnaient le bien‑fondé de la vaccination pédiatrique, des chercheurs qui pointaient les signaux inquiétants dans les bases de données – tous ont été ignorés, marginalisés ou attaqués.
Ce mémo enterre définitivement cette ligne de communication. La reconnaissance vient de l'intérieur même du système, du plus haut responsable des vaccins du pays.
Une nouvelle FDA
Le timing et le contexte sont essentiels pour comprendre cette annonce.
Vinay Prasad a été nommé en mai 2025 après la démission forcée de son prédécesseur Peter Marks en mars. Marks avait quitté ses fonctions suite à un différend direct avec le secrétaire à la Santé Robert F. Kennedy Jr., dont la nomination avait été confirmée en février 2025 – il y a près de dix mois maintenant.
RFK Jr., qui s'est battu pendant des années pour obtenir la transparence sur les effets secondaires des vaccins COVID, a immédiatement repartagé l'article du New York Times sur X avec un commentaire simple mais puissant : « The truth is finally coming out. »
Pour ceux qui ont suivi son combat depuis 2021, ce moment représente une validation. Ce que Kennedy dénonçait comme un manque de transparence dangereux est désormais reconnu au plus haut niveau de la FDA elle‑même.
Le New York Times, fidèle à sa ligne éditoriale, présente cette annonce comme « l'administration Trump jetant plus de doute sur la sécurité des vaccins ». Mais pour ceux qui ont questionné le discours officiel, c'est la vérité qui émerge enfin.
Des réformes structurelles annoncées
Le mémo de Prasad ne se contente pas d'un constat. Il annonce une révision complète et immédiate des règles d'autorisation des vaccins :
- Essais randomisés obligatoires pour tous les sous‑groupes, y compris enfants et femmes enceintes – fini le temps où on extrapolait simplement des données adultes
- Suivi post‑commercialisation renforcé – reconnaissance implicite que le système actuel a échoué à détecter ces décès
- Abandon de la simple mesure des anticorps comme critère d'efficacité – retour aux critères cliniques réels (hospitalisations, décès)
Le document se termine même sur une note claire à l'attention du personnel : ceux qui ne se sentent pas en phase avec cette nouvelle orientation de transparence sont invités à « explorer d'autres opportunités professionnelles ».
C'est une révolution au sein de l'agence.
Les réactions prévisibles de l'establishment
Les réactions ne se sont pas fait attendre, et elles sont révélatrices.
L'American Academy of Pediatrics a immédiatement dénoncé une annonce « prématurée et irresponsable ». Peter Marks, l'ancien directeur évincé, s'est dit « profondément préoccupé » par le risque de « détruire la confiance vaccinale ».
Notez bien la priorité : pas « trouver la vérité sur ces décès », pas « protéger les enfants », mais « préserver la confiance vaccinale ». La communication prime sur la sécurité.
Vinay Prasad a répondu sobrement sur X : « La transparence totale est notre objectif. Les données arrivent. »
Ce que les données VAERS révélaient depuis longtemps
Pour ceux qui suivent le dossier depuis le début, cette reconnaissance officielle de dix décès ne constitue pas une surprise – c'est une confirmation tardive de signaux présents depuis des années.
Une analyse indépendante publiée en juin 2024 par Children's Health Defense[2] avait déjà mis en lumière l'ampleur du problème. L'analyste Albert Benavides, en examinant manuellement les rapports VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System), avait identifié une manipulation systématique des données.
Les chiffres officiels : 197 décès d'enfants (0‑17 ans) suivant une vaccination COVID au 31 mai 2024.
La réalité dans les rapports : environ 418 cas documentés chez les moins de 18 ans, plus une centaine supplémentaire où les descriptions mentionnent explicitement des « enfants, nourrissons ou bébés » malgré un âge listé comme « inconnu ».
Le total réel : près de 538 décès signalés, avec jusqu'à 30 % des rapports COVID masqués par des champs d'âge vides ou supprimés – malgré des détails clairs dans les résumés narratifs.
Des exemples concrets illustrent ce point :
- Un garçon de 13 ans « toujours en bonne santé » décédé de myocardite
- Un adolescent de 16 ans avec un cœur « anormalement large »
- Un enfant de 5 ans victime d'un arrêt cardiaque trois jours après l'injection
Benavides pose la question qui dérange : « Si l'âge est correctement documenté dans le résumé du rapport, pourquoi ne pas le mettre à jour éthiquement ? »
Pour minimiser les signaux d'alerte et maintenir le discours « sûr et efficace » ?
L'underreporting massif du VAERS
Et ces 538 décès ne représentent probablement qu'une fraction du problème réel.
L'underreporting chronique du VAERS est documenté depuis des années. Un rapport Harvard de 2011 estimait que moins de 1 % des événements indésirables réels sont effectivement signalés dans le système.
Si on applique ce facteur de correction – et c'est un calcul conservateur – les 538 décès signalés pourraient refléter des dizaines de milliers de cas réels.
Bien sûr, tous les décès signalés dans VAERS ne sont pas nécessairement causés par le vaccin. Le système enregistre des corrélations temporelles, pas automatiquement des liens de causalité. C'est précisément pour cela que des enquêtes approfondies avec autopsies sont nécessaires.
Mais c'est justement ce qui n'a jamais été fait systématiquement. Et c'est ce que Children's Health Defense réclame : une enquête indépendante urgente, incluant des autopsies pour tous les cas suspects et une refonte du processus VAERS pour éviter les « disparitions » de rapports.
-6 à 8 % pour Pfizer et Moderna
En attendant les données détaillées promises par Prasad, les effets de cette reconnaissance sont déjà tangibles :
- Suspension de toute nouvelle recommandation vaccinale COVID chez l'enfant – le CDC n'émettra plus de guidance pédiatrique tant que la revue n'est pas terminée
- Gel des options pédiatriques dans les contrats fédéraux 2026 – les commandes gouvernementales excluent désormais les doses enfants
- Chute boursière immédiate : -6 à 8 % pour Pfizer et Moderna dès l'ouverture des marchés lundi matin
- Audition sénatoriale convoquée dès janvier sous l'égide du sénateur Ron Johnson, qui mène depuis 2021 des enquêtes sur les effets secondaires
Le marché réagit instantanément parce que les investisseurs comprennent l'enjeu : si la FDA reconnaît officiellement des décès pédiatriques, la responsabilité légale devient une question explosive. L'immunité juridique accordée aux fabricants pourrait être remise en cause.
Les questions qui restent ouvertes
Le mémo de Prasad, tel que rapporté par le New York Times, ne fournit pas tous les détails que beaucoup souhaiteraient voir :
- L'âge précis des dix enfants concernés
- Leurs éventuels problèmes de santé préexistants
- La méthodologie exacte utilisée pour établir le lien de causalité
- Les fabricants spécifiques impliqués (Pfizer ou Moderna)
- La période sur laquelle ces décès se sont produits
Le Times note également que ces conclusions n'ont pas encore été publiées dans une revue médicale à comité de lecture. Prasad promet que les « données détaillées seront publiées dans les prochaines semaines ».
C'est une critique légitime : la transparence totale exige la publication complète des données, avec la méthodologie, pour permettre une vérification indépendante.
Mais soyons clairs : cette exigence de « revue par les pairs » n'a jamais été appliquée avec autant de rigueur pour justifier la vaccination pédiatrique en premier lieu. Les autorisations d'urgence pour les enfants se sont basées sur des essais limités, des extrapolations et des modèles – pas sur des preuves cliniques solides de bénéfice net dans cette tranche d'âge à risque quasi nul de COVID sévère.
Pourquoi cette reconnaissance maintenant ?
La question mérite d'être posée : pourquoi la FDA reconnaît‑elle ces décès maintenant, après quatre ans de déni ?
Plusieurs facteurs se combinent :
1. Un changement de leadership politique : Avec RFK Jr. au secrétariat à la Santé et Vinay Prasad à la tête des vaccins, la FDA ne peut plus balayer les signaux sous le tapis. La pression politique pour la transparence est devenue irrésistible.
2. L'accumulation des preuves : Les signaux VAERS, les études internationales sur les myocardites, les témoignages de médecins – tout converge. Ignorer le problème devenait intenable.
3. La fin de l'urgence : La pandémie est terminée, l'immunité naturelle est généralisée, les variants sont devenus bénins. Le coût politique de l'admission est désormais plus faible que celui du maintien du mensonge.
4. La protection juridique : En reconnaissant le problème maintenant, la FDA peut tenter de limiter sa responsabilité future. « Nous avons agi dès que nous avons su » sera la défense.
Ce que cela signifie pour les familles
Pour les milliers de familles qui ont perdu un enfant après une vaccination COVID et qui se sont heurtées pendant des années à l'indifférence ou au déni des autorités, cette reconnaissance arrive trop tard – mais elle arrive.
Trop tard pour les enfants décédés. Trop tard pour les parents qu'on a traités de « complotistes » quand ils racontaient ce qui était arrivé à leur fils ou leur fille. Trop tard pour les médecins radiés ou censurés pour avoir osé signaler des effets secondaires.
Mais pas trop tard pour :
- Obtenir enfin une reconnaissance officielle de leur drame
- Exiger des comptes et des réparations
- Empêcher que d'autres enfants subissent le même sort
- Restaurer un système de surveillance qui a manifestement failli
Le tabou est brisé
Pendant quatre ans, dire que les vaccins COVID avaient tué des enfants vous classait automatiquement dans la catégorie « dangereux complotiste »,
Les comptes étaient suspendus, les articles supprimés, les médecins sanctionnés.
Aujourd'hui, c'est le directeur de la division vaccins de la FDA lui‑même qui l'écrit noir sur blanc : « Les vaccins Covid‑19 ont tué des enfants américains. »
Le tabou est brisé. Et il ne sera plus jamais possible de dire « ça n'est jamais arrivé ».
Reste maintenant à obtenir la transparence totale sur l'ampleur réelle du problème, à enquêter sur tous les cas suspects, et à établir les responsabilités de ceux qui ont caché ces informations pendant quatre ans.
Comme RFK Jr. l'a écrit : « La vérité émerge enfin. »
Maran pour BAM!
[1] F.D.A. Seeks More Oversight of Vaccine Trials and Approvals - The New York Times
[2] Number of Children Who Died After COVID Shots Much Higher Than VAERS Reports Indicate, Analyst Says
