Nous avions déjà pointé du doigt les nombreuses pathologies liées aux vaccins COVID[1]. Désormais, 263 études revues par les pairs confirment que la protéine spike, composant clé des vaccins à ARNm, agit comme un pathogène indépendant, capable de provoquer des dysfonctionnements cellulaires et systémiques graves. Cette situation est d’autant plus préoccupante que la production de spike lors des injections est plus intense chez les jeunes, et que la quantité produite varie considérablement d’un individu à l’autre, rendant le vaccin encore plus toxique… ou encore moins efficace.
Le vaccin, une usine à variants ?
ExpiréLa résistance est un phénomène évolutif qui survient lorsque des agents pathogènes sont soumis à une pression sélective. Bien connu dans le cas des antibiotiques, ce problème concerne également les vaccins, notamment contre les virus à mutation rapide comme le SARS‑CoV‑2, et en particulier si le vaccin cible une seule protéine, telle que la spike. Pourtant, ce principe, connu de longue date, a été complètement ignoré au cours de la crise COVID.
63 études évaluées par des pairs confirment que la vaccination contre la COVID‑19 a favorisé le développement de variants résistants tels que l'Alpha, le Delta et l'Omicron.
Une nouvelle étude internationale critique la gestion de la crise sanitaire
ExpiréUne nouvelle étude internationale pluridisciplinaire, réalisée par 35 chercheurs et revue par les pairs, offre une lecture critique de la gestion de la pandémie. Publiée dans l’International Journal of Public Health, revue scientifique affiliée à la prestigieuse Swiss School of Public Health, elle dénonce une dépendance excessive aux modèles prédictifs, une évaluation biaisée des mesures sanitaires, ainsi que la marginalisation de perspectives scientifiques discordantes. Ce travail appelle à repenser en profondeur la gouvernance sanitaire en temps de crise, à l’heure où des cadres juridiques permanents — comme la « loi pandémie » en Belgique — ou l’Accord international sur les pandémies de l’OMS, entérinent précisément les dérives que cette étude dénonce.
“Experts” et petites affaires (partie 3)
ExpiréBAM a publié il y a quelques mois un double article sur le “consensus” scientifique et médical artificiellement créé par des arguments circulaires, l’auto-référencement et les conflits d’intérêts [1][2]. Pour cette troisième partie, nous allons maintenant nous intéresser au cas du Professeur Cédric Hermans, hématologue à l’hôpital Saint-Luc de Bruxelles, conseiller du gouvernement, membre du Conseil supérieur de la santé, expert de plateaux télé… et bénéficiaire des largesses des laboratoires pharmaceutiques.
BAM! detox*