Les tests PCR, un peu trop sensibles ?

Si la courbe des cas s’envole facilement, ce serait peut-être en partie lié à un autre facteur, la manière dont sont analysés les tests. Ces tests utilisent une méthode de détection directe du génome. Ils cherchent à détecter des morceaux d’ARN (un dérivé de l’ADN en quelque sorte) des agents infectieux ou parasitaires. Ils permettent de détecter de très faibles quantités d’agents pathogènes (qui peuvent causer une maladie) dans des prélèvements. L’action principale du test est répétée plusieurs fois, on parle de «cycles», devenant plus «sensibles» à la présence de fragment du virus, au fur et à mesure que les cycles s’enchainent.

Du 11 mai au 20 juillet 2020, jusqu’à l’école en novembre…

On considère, que l’évolution du coronavirus se déroule ainsi : 5 à 7 jours d’incubation en moyenne, 7 à 10 jours d’aggravation, 14 jours entre la contamination et l’hospitalisation (3 à 4 semaines entre contamination et décès, après 18,5 jours de maladie en moyenne ; en moyenne 22 jours entre la contamination et la sortie de l’hôpital).

Quand tu te fais remonter les bretelles au Carrefour de ton quartier par un garde qui vient te chercher jusqu'à la caisse où tu as déjà commencé à déposer tes achats en t'apostrophant avec une remarque désobligeante et stupide parce que tu n'as pas ton nez correctement recouvert du niqab naso-buccal réglementaire alors que tous les indicateurs épidémiologiques rasent le plancher viral, ta colère éclate publiquement, car trop c'est trop, vraiment, la compliance a ses limites.

Les masques en tissu... de mensonges ?

Coup de théâtre : en janvier 2021, après avoir laissé porter des masques artisanaux en tissu par des millions de Français depuis le mois de juillet, sous peine d’amendes et d’un potentiel désaveu social, pour se protéger d’un virus exterminateur, le Haut Conseil de Santé Publique déclare qu’ils ne sont pas (assez) efficaces. Des millions de personnes en auraient donc porté pendant 6 mois pour rien... ou presque...

Les masques, de l’inexistence à l’omniprésence

En mars 2020, le gouvernement aurait des millions de masques en stock, tous les protagonistes nous rassurent… puis Olivier Véran annonce un «stock insuffisant, ne serait-ce que pour les soignants». La France aurait disposé d’un stock, finalement évaporé au cours des 10 dernières années…

Je te remercie de penser à ma vie qui s'épuise. Tu n'es pas la première personne à me demander de passer à autre chose. Comment te faire comprendre le sérieux et l'absolue nécessité de ma démarche alors que tu m'apostrophes avec une demande de reddition, une injonction semblable à celle du policier qui tance un "circulez, y’a rien à voir!"?

N’oublions pas le couvre-feu.

Tout comme le confinement, le couvre-feu est une mesure non pharmaceutique qui ne repose sur aucune justification scientifique. Comme nous l’avons vu dans la partie «confinement», les courbes avaient déjà commencé à diminuer dans de nombreuses régions au moment de la mise en place du couvre-feu de l’automne 2020. Difficile de savoir si cette mesure a réellement une influence positive. Et si nous étions en couvre-feu depuis plusieurs mois pour rien ?

Notre plat pays semble né pour servir de tampon entre les grandes nations. Singulièrement minuscule, il est pourtant devenu l'un des pôles économiques les plus importants au monde dès la fin du 19e siècle. Pas assez puissant militairement, il lui faudra capituler, à deux reprises, après seulement quelques jours de résistance à l'envahisseur allemand. Cependant, notre résilience est demeurée intacte. 

Troisième confinement ? Confinement sans fin ?

Fin janvier 2021, la France fait le choix de ne pas confiner une troisième fois, c’est historique, c’est sans doute une des premières décisions depuis un an qui ne va pas dans le sens des restrictions. Et elle a raison. Depuis début janvier, le taux de positivité des tests est stable, le nombre cas et d’hospitalisations également (il baisse même début février), malgré la multiplication des variants en circulation, les craintes liées aux fêtes de fin d’année, les écoles ouvertes etc.