Qui prend les décisions ? Les potentiels liens d’affinité ou conflits d’intérêts

Qu’il s’agisse du conseil de défense, du comité scientifique, ou des différents intervenants qui prennent la parole sur les plateaux de télévision… Dans une situation comme celle que l’on vit actuellement, en proie à détruire nos sociétés et mettant en danger nos droits fondamentaux, il est indispensable d’étudier avec une extrême vigilance les moindres liens possibles entre les personnes qui prennent les décisions et diffusent des discours, et les laboratoires pharmaceutiques ou autres acteurs politico-économiques qui pourraient en retirer un quelconque bénéfice. Ce travail n’est pas vraiment fait.

Certains moyens inédits, jamais utilisés dans l’Histoire, sans fondement scientifique, jamais intégrés à aucun «plan pandémie» et dont peu ont fait l’objet d’études sérieuses pouvant leur conférer une réelle efficacité, ont été déployés, en France et dans le Monde, presque à l’unisson.

Une mesure moyenâgeuse face à un virus inconnu

Bien que discutables aujourd’hui, les critères (variables) de mesure de dangerosité du virus étant alarmants en mars, et ce virus étant alors inconnu, un inédit confinement est décidé par les autorités qui n’ont pas trouvé d’autre solution. Dans l’urgence, cette mesure moyenâgeuse est instaurée, comme on aurait pu le faire quand on ne connaissait ni les médicaments, ni les vaccins et que la saignée était pratiquée. Une poignée d’individus décide d’enfermer tout un pays. Dans la panique, on ne peut pas totalement leur en vouloir.

Les médecins de ville écartés et des pistes inexplorées. Pourquoi ?

Car finalement, le meilleur moyen de ne pas surcharger les hôpitaux qui sont en permanence au bord de la rupture, c’est de prendre en charge les malades en amont pour qu’ils n’arrivent pas jusqu’à l’hôpital, et surtout pas jusqu’en réanimation. Et c’est un des aspects qui n’a pas été assez mis en avant… et qui fait l’objet de potentiels scandales en puissance dont nous allons reparler un peu plus loin.

Entre l’épidémie de mars et celle d’octobre, ce qui est indiscutable, c’est l’évolution du nombre de lit en service de réanimation, qui est passé de 5 000 lits en mars à… 5 000 en octobre ! Si le nombre de lits de réanimation n’a au moins pas été réduit ces dernières années (5334 en 2013, 5432 en 2018, d’après les données de la DREES), il semble tout de même insuffisant… En moyenne 50 lits de réanimation par département seulement !

Les hôpitaux sont devenus le centre de toute l’attention, l’un des principaux indicateurs, presque plus encore que le risque réel du virus. Il ne serait pas primordial de trouver des traitements pour soigner la Covid, mais plutôt de ne pas engorger les services de réanimation. Images choc, tri des malades, report d’opération… à pieds joints dans l’émotion. Tant que les services de réanimation risquent d’être sous tension, les citoyens doivent rester enfermés, à contempler leur monde s’effondrer.

Comme on l'a vu précédemment, il est difficile de faire confiance aux chiffres. Dès lors, pour évaluer l’impact de la Covid sur la mortalité, il peut être intéressant de comparer la mortalité toutes causes confondues en 2020 avec celle des années précédentes pour faire ressortir la surmortalité. En créant des courbes à partir de ces données, disponible auprès de l’INSEE, on s’aperçoit qu’en dehors d’un véritable pic au printemps, on est très loin de la terrifiante hécatombe qu’on nous vendait en début d’année et qui continue à servir de justification à des mesures inouïes, jamais prises en temps de paix.

Aujourd'hui j'ai envie de vous dire quelques vers
Parce que la poésie ça rend le réel moins vulgaire
Et qu’en ces temps de violence et de conflit
L’art est essentiel à nos vies.

En novembre 2020, on comptabilise 1 300 000 morts de la Covid dans le monde (sous réserve d’un comptage fiable, comme on vient de le voir). C’est terrible, c’est indiscutable. Le chiffre est impressionnant. On a décidé que la Terre devait donc s’arrêter de tourner… et pourtant…