Les masques en tissu... de mensonges ?

Coup de théâtre : en janvier 2021, après avoir laissé porter des masques artisanaux en tissu par des millions de Français depuis le mois de juillet, sous peine d’amendes et d’un potentiel désaveu social, pour se protéger d’un virus exterminateur, le Haut Conseil de Santé Publique déclare qu’ils ne sont pas (assez) efficaces. Des millions de personnes en auraient donc porté pendant 6 mois pour rien... ou presque...

Les masques, de l’inexistence à l’omniprésence

En mars 2020, le gouvernement aurait des millions de masques en stock, tous les protagonistes nous rassurent… puis Olivier Véran annonce un «stock insuffisant, ne serait-ce que pour les soignants». La France aurait disposé d’un stock, finalement évaporé au cours des 10 dernières années…

Je te remercie de penser à ma vie qui s'épuise. Tu n'es pas la première personne à me demander de passer à autre chose. Comment te faire comprendre le sérieux et l'absolue nécessité de ma démarche alors que tu m'apostrophes avec une demande de reddition, une injonction semblable à celle du policier qui tance un "circulez, y’a rien à voir!"?

N’oublions pas le couvre-feu.

Tout comme le confinement, le couvre-feu est une mesure non pharmaceutique qui ne repose sur aucune justification scientifique. Comme nous l’avons vu dans la partie «confinement», les courbes avaient déjà commencé à diminuer dans de nombreuses régions au moment de la mise en place du couvre-feu de l’automne 2020. Difficile de savoir si cette mesure a réellement une influence positive. Et si nous étions en couvre-feu depuis plusieurs mois pour rien ?

Notre plat pays semble né pour servir de tampon entre les grandes nations. Singulièrement minuscule, il est pourtant devenu l'un des pôles économiques les plus importants au monde dès la fin du 19e siècle. Pas assez puissant militairement, il lui faudra capituler, à deux reprises, après seulement quelques jours de résistance à l'envahisseur allemand. Cependant, notre résilience est demeurée intacte. 

Troisième confinement ? Confinement sans fin ?

Fin janvier 2021, la France fait le choix de ne pas confiner une troisième fois, c’est historique, c’est sans doute une des premières décisions depuis un an qui ne va pas dans le sens des restrictions. Et elle a raison. Depuis début janvier, le taux de positivité des tests est stable, le nombre cas et d’hospitalisations également (il baisse même début février), malgré la multiplication des variants en circulation, les craintes liées aux fêtes de fin d’année, les écoles ouvertes etc.

Quelques pensées et beaucoup d’incompréhensions...

On comprendra la tentation de certains états de prolonger cette mesure, limitant la contestation, les manifestations, permettant de tenir bien sage toute une population.

Et si on se trompait…

Désarmé par son manque d’action et d’audace, le gouvernement relance à l’automne un nouveau confinement… 2e round. L’ascenseur était bloqué, attention, on va couper le câble…
On notera au passage que pour justifier le nouveau confinement, Emmanuel Macron avance, lors de son allocution du 28 octobre, un potentiel de 400 000 morts à venir ! Les prédictions les plus folles (à moins que ce ne soit une erreur de prompteur) refont surface, alors qu’aucun pays sur la planète n’a connu, même au plus fort de l’épidémie, un tel niveau de mortalité, et alors que nous même n’avons «même pas» totalisé 10 % de ce chiffre au pic du printemps… On l’a vu, ces prévisions sont totalement dénuées de sens, mais on continue à les annoncer et à s’en servir comme base de décisions graves… Pourquoi ?

Une enseignante de la Fédération Wallonie-Bruxelles nous fait part de ses réflexions sur la possibilité légale et le devoir de débattre avec ses élèves des atteintes actuelles aux droits et libertés fondamentales des Belges, alors que les enseignants sont soumis à un principe de neutralité.

Avec le covid, l'Union européenne se retrouve sous une lumière assez crue et révèle qu'elle n'est rien d'autre que l'axe principal du travail de sape de nos démocraties, autant de forteresses assiégées, dont les brèches béantes ont depuis longtemps laissé entrer l'ennemi dans la place!