Notre plat pays semble né pour servir de tampon entre les grandes nations. Singulièrement minuscule, il est pourtant devenu l'un des pôles économiques les plus importants au monde dès la fin du 19e siècle. Pas assez puissant militairement, il lui faudra capituler, à deux reprises, après seulement quelques jours de résistance à l'envahisseur allemand. Cependant, notre résilience est demeurée intacte. 

Troisième confinement ? Confinement sans fin ?

Fin janvier 2021, la France fait le choix de ne pas confiner une troisième fois, c’est historique, c’est sans doute une des premières décisions depuis un an qui ne va pas dans le sens des restrictions. Et elle a raison. Depuis début janvier, le taux de positivité des tests est stable, le nombre cas et d’hospitalisations également (il baisse même début février), malgré la multiplication des variants en circulation, les craintes liées aux fêtes de fin d’année, les écoles ouvertes etc.

Quelques pensées et beaucoup d’incompréhensions...

On comprendra la tentation de certains états de prolonger cette mesure, limitant la contestation, les manifestations, permettant de tenir bien sage toute une population.

Et si on se trompait…

Désarmé par son manque d’action et d’audace, le gouvernement relance à l’automne un nouveau confinement… 2e round. L’ascenseur était bloqué, attention, on va couper le câble…
On notera au passage que pour justifier le nouveau confinement, Emmanuel Macron avance, lors de son allocution du 28 octobre, un potentiel de 400 000 morts à venir ! Les prédictions les plus folles (à moins que ce ne soit une erreur de prompteur) refont surface, alors qu’aucun pays sur la planète n’a connu, même au plus fort de l’épidémie, un tel niveau de mortalité, et alors que nous même n’avons «même pas» totalisé 10 % de ce chiffre au pic du printemps… On l’a vu, ces prévisions sont totalement dénuées de sens, mais on continue à les annoncer et à s’en servir comme base de décisions graves… Pourquoi ?

Une enseignante de la Fédération Wallonie-Bruxelles nous fait part de ses réflexions sur la possibilité légale et le devoir de débattre avec ses élèves des atteintes actuelles aux droits et libertés fondamentales des Belges, alors que les enseignants sont soumis à un principe de neutralité.

Avec le covid, l'Union européenne se retrouve sous une lumière assez crue et révèle qu'elle n'est rien d'autre que l'axe principal du travail de sape de nos démocraties, autant de forteresses assiégées, dont les brèches béantes ont depuis longtemps laissé entrer l'ennemi dans la place!

L’imagination au service de l’absurde…

Autant au mois de mars 2020, face à un virus dont on ne connaissait pas le potentiel meurtrier, dans la panique, face à des projections apocalyptiques, on peut comprendre la mise en place de cette mesure, comme ultime solution de secours, comme dernier recours… autant comment peut-être en faire une stratégie de santé, presque banale, quand on en a mesuré déjà une fois les conséquences pour les individus comme pour la nation ?

La pandémie booste notre évolution, mais dans quelle direction ?

Les (auto-proclamés) grands de ce monde, politiques, grands patrons, spécialistes et célébrités en tous genres, ont pris pour habitude de se réunir au sein de cercles plus ou moins restreints et/ou secrets afin d’échanger sur divers sujets concernant l’avenir de notre monde. Si on ne sait pas ce qui se raconte et se décide pendant les réunions «Bilderberg», puisque que tout ce qui s’y dit est tenu secret, on en sait en revanche plus sur ce qui est dit lors des réunions du G20, ou du Forum Economique Mondial de Davos.

Qui prend les décisions ? Les potentiels liens d’affinité ou conflits d’intérêts

Qu’il s’agisse du conseil de défense, du comité scientifique, ou des différents intervenants qui prennent la parole sur les plateaux de télévision… Dans une situation comme celle que l’on vit actuellement, en proie à détruire nos sociétés et mettant en danger nos droits fondamentaux, il est indispensable d’étudier avec une extrême vigilance les moindres liens possibles entre les personnes qui prennent les décisions et diffusent des discours, et les laboratoires pharmaceutiques ou autres acteurs politico-économiques qui pourraient en retirer un quelconque bénéfice. Ce travail n’est pas vraiment fait.

Certains moyens inédits, jamais utilisés dans l’Histoire, sans fondement scientifique, jamais intégrés à aucun «plan pandémie» et dont peu ont fait l’objet d’études sérieuses pouvant leur conférer une réelle efficacité, ont été déployés, en France et dans le Monde, presque à l’unisson.