Une enseignante de la Fédération Wallonie-Bruxelles nous fait part de ses réflexions sur la possibilité légale et le devoir de débattre avec ses élèves des atteintes actuelles aux droits et libertés fondamentales des Belges, alors que les enseignants sont soumis à un principe de neutralité.

Avec le covid, l'Union européenne se retrouve sous une lumière assez crue et révèle qu'elle n'est rien d'autre que l'axe principal du travail de sape de nos démocraties, autant de forteresses assiégées, dont les brèches béantes ont depuis longtemps laissé entrer l'ennemi dans la place!

L’imagination au service de l’absurde…

Autant au mois de mars 2020, face à un virus dont on ne connaissait pas le potentiel meurtrier, dans la panique, face à des projections apocalyptiques, on peut comprendre la mise en place de cette mesure, comme ultime solution de secours, comme dernier recours… autant comment peut-être en faire une stratégie de santé, presque banale, quand on en a mesuré déjà une fois les conséquences pour les individus comme pour la nation ?

La pandémie booste notre évolution, mais dans quelle direction ?

Les (auto-proclamés) grands de ce monde, politiques, grands patrons, spécialistes et célébrités en tous genres, ont pris pour habitude de se réunir au sein de cercles plus ou moins restreints et/ou secrets afin d’échanger sur divers sujets concernant l’avenir de notre monde. Si on ne sait pas ce qui se raconte et se décide pendant les réunions «Bilderberg», puisque que tout ce qui s’y dit est tenu secret, on en sait en revanche plus sur ce qui est dit lors des réunions du G20, ou du Forum Economique Mondial de Davos.

Qui prend les décisions ? Les potentiels liens d’affinité ou conflits d’intérêts

Qu’il s’agisse du conseil de défense, du comité scientifique, ou des différents intervenants qui prennent la parole sur les plateaux de télévision… Dans une situation comme celle que l’on vit actuellement, en proie à détruire nos sociétés et mettant en danger nos droits fondamentaux, il est indispensable d’étudier avec une extrême vigilance les moindres liens possibles entre les personnes qui prennent les décisions et diffusent des discours, et les laboratoires pharmaceutiques ou autres acteurs politico-économiques qui pourraient en retirer un quelconque bénéfice. Ce travail n’est pas vraiment fait.

Certains moyens inédits, jamais utilisés dans l’Histoire, sans fondement scientifique, jamais intégrés à aucun «plan pandémie» et dont peu ont fait l’objet d’études sérieuses pouvant leur conférer une réelle efficacité, ont été déployés, en France et dans le Monde, presque à l’unisson.

Une mesure moyenâgeuse face à un virus inconnu

Bien que discutables aujourd’hui, les critères (variables) de mesure de dangerosité du virus étant alarmants en mars, et ce virus étant alors inconnu, un inédit confinement est décidé par les autorités qui n’ont pas trouvé d’autre solution. Dans l’urgence, cette mesure moyenâgeuse est instaurée, comme on aurait pu le faire quand on ne connaissait ni les médicaments, ni les vaccins et que la saignée était pratiquée. Une poignée d’individus décide d’enfermer tout un pays. Dans la panique, on ne peut pas totalement leur en vouloir.

Les médecins de ville écartés et des pistes inexplorées. Pourquoi ?

Car finalement, le meilleur moyen de ne pas surcharger les hôpitaux qui sont en permanence au bord de la rupture, c’est de prendre en charge les malades en amont pour qu’ils n’arrivent pas jusqu’à l’hôpital, et surtout pas jusqu’en réanimation. Et c’est un des aspects qui n’a pas été assez mis en avant… et qui fait l’objet de potentiels scandales en puissance dont nous allons reparler un peu plus loin.

Entre l’épidémie de mars et celle d’octobre, ce qui est indiscutable, c’est l’évolution du nombre de lit en service de réanimation, qui est passé de 5 000 lits en mars à… 5 000 en octobre ! Si le nombre de lits de réanimation n’a au moins pas été réduit ces dernières années (5334 en 2013, 5432 en 2018, d’après les données de la DREES), il semble tout de même insuffisant… En moyenne 50 lits de réanimation par département seulement !