Les leçons du passé : le plan « pandémie » de Douste-Blazy

Après l’épidémie de SRAS au début des années 2000, l’ancien ministre de la Santé Philippe Douste-Blazy avait lancé une alerte en 2005 face à la menace d’une pandémie virale. Un plan de lutte contre une épidémie virale a été établi. Tout était prêt (l’arrêt des vols d’avions dans les zones touchées, la réquisition des industries textiles pour faire près d’un milliard de masques…). Cette solution a été totalement ignorée !

Ceux qui s’interrogent, questionnent, proposent d’autres voies, ou manifestent leur désaccord sont immédiatement et quasiment systématiquement assimilés à des militants anti-vaccin, des marginaux, des conspirationnistes ou encore des sympathisants d’extrême droite. Sans jamais s’intéresser finalement au fond du discours alternatif qui est proposé, sans se dire qu’il pourrait être juste, ou qu’il pourrait permettre de nuancer le discours officiel, tout n’étant pas tout noir ni tout blanc, surtout en ces temps d’incertitude où personne ne détient de vérité absolue.
Le Dr Laurent Toubiana va même finir par ne plus vouloir intervenir tant il fait l’objet d’un quasi harcèlement pour les propos, pourtant censés, qu’il tient.

Ayez peur, ne bougez plus, ne réfléchissez plus.

S’il y a au moins une réussite dans toute cette histoire, rondement menée, c’est la gestion de la peur.

Les masques, une hypothèse folle…

Quand on sait que les masques sont globalement mal portés, et qu’ils peuvent potentiellement devenir contre-productifs, peut-on s’autoriser à tenter une lecture inverse ?
Peut-on émettre l’hypothèse d’une inversion de causalité. Je n’affirme rien du tout, c’est une simple réflexion, sans doute totalement absurde et délirante… Mais est-ce recevable ? Cela serait-il scientifiquement possible ?

Au lieu de mener une réflexion sereine et de prendre correctement et rapidement en charge les malades en attendant plus d’éléments concernant les vaccins , c’est l’hystérie générale: l’affolement des différents intervenants et des médias, et l’emballement des cours de la bourse bien sûr…

Les tests PCR, c’est bien ! Quand on s’en sert…

Voilà enfin un outil qui semble indispensable. Pour pouvoir éviter des décès, il faut identifier les malades, pour les soigner au plus vite.
Oui mais, voilà, des tests en France, en mars 2020, on n’en a pas…

Banalisation d’un concept immonde et discriminant

21 décembre 2020. Je n’avais pas imaginé ce qu’il adviendrait quelques semaines plus tard au moment de la rédaction des paragraphes précédents. Les pires théories du complot l’avaient imaginé (il va falloir trouver de nouvelles théories complotistes). Dans un projet de loi présenté le 21 décembre 2020 (en procédure accélérée) le gouvernement donne vie officiellement à un principe de passeport sanitaire pouvant conditionner différents aspects de la vie à un statut médical. Pour la première fois, le gouvernement évoque et donne vie à ce sujet.

Le vaccin, expérimentations et bénéfices

L’apparition des vaccins dans l’histoire de l’Homme constitue une très grande avancée. Indéniable, indiscutable. Ils ont permis d’éradiquer des maladies extrêmement meurtrières et nous protègent. Nous les connaissons, pour la plupart, depuis bien longtemps maintenant.
Dans la situation actuelle, on peut se prendre à rêver…

Une obsession dès les premiers jours

Imaginez un vaccin tellement sécurisé qu’on doit vous menacer pour le prendre, pour une maladie tellement mortelle que vous devez être testé pour savoir si vous l’avez...

Le Remdesivir, un doux parfum de scandale

Face à l’HCQ, un autre traitement a été proposé et étudié. Il s’agit du Remdesivir, du laboratoire Gilead. Contrairement à l’HCQ, ce traitement coûte très cher et ne peut être administré que par voie intraveineuse. Il est annoncé aux États-Unis à 390 dollars (347 euros) la dose quotidienne, pour un prix moyen de traitement sur 6 jours de 2 340 dollars (2 080 €). Ce prix est exorbitant. Selon une étude réalisée par Andrew Hill, le coût de production d’une dose quotidienne de Remdesivir serait 75 centimes de dollars (à vérifier). C’est en tous cas sans commune mesure avec le coût de l’HCQ (quelques euros / dizaines d’euros).