Le vaccin, expérimentations et bénéfices

L’apparition des vaccins dans l’histoire de l’Homme constitue une très grande avancée. Indéniable, indiscutable. Ils ont permis d’éradiquer des maladies extrêmement meurtrières et nous protègent. Nous les connaissons, pour la plupart, depuis bien longtemps maintenant.
Dans la situation actuelle, on peut se prendre à rêver…

Une obsession dès les premiers jours

Imaginez un vaccin tellement sécurisé qu’on doit vous menacer pour le prendre, pour une maladie tellement mortelle que vous devez être testé pour savoir si vous l’avez...

Le Remdesivir, un doux parfum de scandale

Face à l’HCQ, un autre traitement a été proposé et étudié. Il s’agit du Remdesivir, du laboratoire Gilead. Contrairement à l’HCQ, ce traitement coûte très cher et ne peut être administré que par voie intraveineuse. Il est annoncé aux États-Unis à 390 dollars (347 euros) la dose quotidienne, pour un prix moyen de traitement sur 6 jours de 2 340 dollars (2 080 €). Ce prix est exorbitant. Selon une étude réalisée par Andrew Hill, le coût de production d’une dose quotidienne de Remdesivir serait 75 centimes de dollars (à vérifier). C’est en tous cas sans commune mesure avec le coût de l’HCQ (quelques euros / dizaines d’euros).

Le Pr Didier Raoult est-il un guignol ?

Rappelons que le Pr Raoult ne sort pas d’une BD d’Astérix. Professeur, il enseigne les maladies infectieuses à la faculté de médecine de Marseille et a dirigé depuis 1982 une centaine de thèses de médecine et doctorats d’université. Il est Docteur en médecine (spécialité : Microbiologie, Maladies infectieuses), et Directeur de l’IHU Méditerranée Infection à Marseille, où travaillent près de 800 personnes.

Les tests PCR, un peu trop sensibles ?

Si la courbe des cas s’envole facilement, ce serait peut-être en partie lié à un autre facteur, la manière dont sont analysés les tests. Ces tests utilisent une méthode de détection directe du génome. Ils cherchent à détecter des morceaux d’ARN (un dérivé de l’ADN en quelque sorte) des agents infectieux ou parasitaires. Ils permettent de détecter de très faibles quantités d’agents pathogènes (qui peuvent causer une maladie) dans des prélèvements. L’action principale du test est répétée plusieurs fois, on parle de «cycles», devenant plus «sensibles» à la présence de fragment du virus, au fur et à mesure que les cycles s’enchainent.

Du 11 mai au 20 juillet 2020, jusqu’à l’école en novembre…

On considère, que l’évolution du coronavirus se déroule ainsi : 5 à 7 jours d’incubation en moyenne, 7 à 10 jours d’aggravation, 14 jours entre la contamination et l’hospitalisation (3 à 4 semaines entre contamination et décès, après 18,5 jours de maladie en moyenne ; en moyenne 22 jours entre la contamination et la sortie de l’hôpital).

Quand tu te fais remonter les bretelles au Carrefour de ton quartier par un garde qui vient te chercher jusqu'à la caisse où tu as déjà commencé à déposer tes achats en t'apostrophant avec une remarque désobligeante et stupide parce que tu n'as pas ton nez correctement recouvert du niqab naso-buccal réglementaire alors que tous les indicateurs épidémiologiques rasent le plancher viral, ta colère éclate publiquement, car trop c'est trop, vraiment, la compliance a ses limites.

Les masques en tissu... de mensonges ?

Coup de théâtre : en janvier 2021, après avoir laissé porter des masques artisanaux en tissu par des millions de Français depuis le mois de juillet, sous peine d’amendes et d’un potentiel désaveu social, pour se protéger d’un virus exterminateur, le Haut Conseil de Santé Publique déclare qu’ils ne sont pas (assez) efficaces. Des millions de personnes en auraient donc porté pendant 6 mois pour rien... ou presque...

Les masques, de l’inexistence à l’omniprésence

En mars 2020, le gouvernement aurait des millions de masques en stock, tous les protagonistes nous rassurent… puis Olivier Véran annonce un «stock insuffisant, ne serait-ce que pour les soignants». La France aurait disposé d’un stock, finalement évaporé au cours des 10 dernières années…