Août 2021, en marge d'un rassemblement de soignants à Bruxelles, une femme interpelle la docteure Cécile Andri tout en filmant avec son GSM. Elle lui répond en sa qualité de médecin et décrit ses propres observations cliniques liées à sa patientèle vaccinée contre la Covid-19. Ses propos sont ensuite largement relayés sur les réseaux sociaux, mais critiqués sans nuance par la presse. « Non-scientifiques » selon Faky de la RTBF ou « Anti-vaccin » selon La Libre...

Monsieur le Président, Chers confrères,

Notre collègue le Docteur Cécile Andri a été convoquée en vos murs suite à des prétextes divers, tous apparus consécutivement à ses déclarations concernant les effets secondaires des « vaccins » anti- Covid.

Il n’y a pas pire sourd que celui qui ne veut pas voir…

Les dirigeants du monde tirent nos ficelles. Nos gouvernements belges voient tout. Ils ont tout pour comprendre mais ils ne réagissent pas. Par peur. Par complaisance. Par bêtise. Par opportunisme. Il faudra bientôt choisir en Belle Gique entre pigeons et colombophiles. Pendant ce temps, nos employeurs voient partir leurs ouailles tant en arrivant mal à engager des collabo…rateurs. Notre serpent économique se mord la queue. 

Star incontestée pendant plus de deux ans, le Covid ne semble plus faire recette. L’arrivée d’un nouveau variant n’a plus l’air d’inquiéter grand monde. Au sein de la classe politique, on sent bien que le cœur n’y est plus. Et lorsqu’Yves Van Laethem, le porte-parole interfédéral Covid, explique “On s'en fout du nombre de cas”[1] ou que Frank Vandenbroucke a, pour l’instant, renoncé à l'obligation vaccinale du personnel soignant, on se dit que même au gouvernement le ton a changé.

Que s’est-il passé? Quelles peuvent-être les raisons de ce revirement? Repli stratégique ou capitulation sans condition? Nous allons tenter de répondre à ces questions…

 « Où est mon cycle ? » : Réponse au « Check News » de Elsa de la Roche Saint-André paru dans Libération du 09.07.2022

Droit de réponse : le déni de souffrance est un déni d’humanité !
Cet article du 9 juillet [1] consacré à l’association « Où est mon cycle » nous a interpellé à plus d’un titre sur la manière de traiter l’information par votre journal. 

Depuis qu'elle a été nommée à Bruxelles, la Présidente de la Commission européenne continue sans relâche son travail de sape des "valeurs européennes", de la discrimination des 100 millions d'Européens qui ont choisi de ne pas se faire vacciner à la confrontation avec nostre principal fournisseur d'énergie. Voici la chronique de Philippe, esquissée lors de la Fête de BAM! le 18 juin dernier, où il habille Ursula von der Leyen pour au moins deux hivers. Tant mieux, parce que la pénurie de gaz pointe son nez.

De la « guerre » contre le virus à l’amnésie, de la psychose collective à l’oubli total : mais comment se fait-il que nous soyons passés aussi vite à autre chose au sortir d’une crise sanitaire qui a pourtant ébranlé à ce point tout notre vivre ensemble, et provoqué, outre le nombre des morts, de si gros dommages psychologiques, sociaux et politiques ?

A deux jours d'écart, dans un domaine on ne peut plus proche du vivant, celui de la Terre nourricière, le PDG de Syngenta et les étudiants d’AgroParisTech nous offrent deux approches antagonistes aux problèmes du monde.
Un antagonisme croissant se dessine dans notre société.

On vit dans un monde dans lequel les menteurs sont récompensés. Les rares qui tentent de transmettre la vérité sont spoliés. Les délateurs sont les rois du trottoir, les redoutés du quartier et considérés comme des grenouilles de bénitier bienfaitrices pour la garantie de la morale sociale.