70 médecins signent une lettre à l'Ordre

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À la suite du symposium "Déontologie et vaccination obligatoire" organisé par le Conseil de l'Ordre des médecins de Bruxelles et du Brabant wallon (OMBBW) le 4 février, 70 médecins ont écrit à son vice-président pour faire part de leurs préoccupations liées à des informations soit douteuses, soit erronées entendues lors du symposium.
Nous publions ci-dessous le contenu de cette lettre.

Le 22 février 2023.

À l’attention du docteur Christian MELOT,
Vice-Président de l’Ordre National des Médecins.
Copie aux Présidents et membres des Conseils Provinciaux d’expression française.

Monsieur le Vice-Président,

Nous tenons à vous remercier pour l’organisation du mini-symposium du 4 février à propos de la gestion de la crise sanitaire du Covid-19 et de la vaccination obligatoire du personnel soignant. Il a constitué une première ouverture à un débat médical indispensable demandé depuis près de 3 ans.

Il ne fait pas de doute que chacun partage le souhait d’une information la plus objective possible. Il est donc de notre devoir, au vu des Articles 37 et 38 du Code de Déontologie médicale, de vous faire part de nos préoccupations liées à des informations soit douteuses, soit erronées, entendues au symposium.

1. Sur l’affirmation que des millions de vies ont été sauvées par la vaccination

Les chiffres avancés reposent sur la comparaison entre le nombre de décès réels et une modélisation mathématique de décès qui se seraient produits sans vaccination. Les modélisations mathématiques sont des outils sans aucun doute utiles au progrès de la science, mais elles nécessitent d’être utilisées avec prudence pour deux raisons : la première si elles s’appliquent à des systèmes vivants complexes, et la seconde raison tient à la justesse des prémisses sur lesquels elles se basent. A titre d’exemple, ces modèles ne pouvaient que donner des résultats faussés vu l’usage systématique de données PCR, sources de faux positifs et qui ne détecte que du matériel génétique sans jamais poser de diagnostic clinique, et le fait de ne jamais tenir compte du caractère zoonotique des SARS lors des dispersions et infections - deux faits scientifiquement irréfutables.
Les modélisations initiales de Neil Ferguson ont été immédiatement réfutées par de nombreux scientifiques à travers le monde. Les chiffres des excès de mortalité au niveau mondial qui ont servi de base à ces modélisation ont été contestés dans un courrier au Lancet[1] par le Dr Matshidiso Moeti, Directrice Régionale de l’OMS pour l’Afrique. Elle y écrit, entre autres : « que l'approche de modélisation de l'étude conduit à des extrapolations hors échantillon peu fiables. Par exemple, les estimations pour le Kenya équivalent à une augmentation de plus de 50 % par rapport à une base de référence de 280 000 décès par an et impliquent qu'un pays doté de services de santé alertes et d'un système d'enregistrement obligatoire des décès n'aurait identifié que 3 % des décès liés au COVID-19.»
Il a d’ailleurs été très rapidement connu dans cette crise, grâce aux publications du Pr Ioannidis [2][2] que l’IFR du SARS-CoV-2 était très faible. Ce qui a encore été confirmé par cette étude danoise[3] qui a démontré que l’IFR était en dessous de 3‰ pour les gens âgés de 61 à 69 ans sans comorbidité, et de moins de 1 par million en dessous de 60 ans sans co-morbidité. Etude d’une qualité remarquable car une des rares à avoir tenu compte des dossiers médicaux des patients, vu leur suivi en tant que donneurs de sang.

Le Pr Goldman, en affirmant sans réserve et à plusieurs reprises que des millions de vies ont été sauvées par les vaccins sur base de modélisations mathématiques non adaptées et non fiables, a manqué à son devoir de fournir aux médecins présents une information scientifiquement et médicalement correcte et impartiale.
En réalité, nous avons affaire à des systèmes complexes et à des prémisses de modélisation qui ne pouvaient être connus ce qui explique les échecs dramatiques de ces modèles.
Nous sommes en droit de nous interroger sur un lien entre les conflits d’intérêt de l’orateur et cette
désinformation élémentaire.

2. Sur les éléments non contrôlés : posologie de la protéine effectrice, biodistribution, pharmacocinétique

Durant le symposium, certains confrères ont abordé ces problèmes fondamentaux. Le Pr Goldman a
répondu qu’il restait effectivement des inconnues au sujet desquelles les recherches devaient continuer.
Parallèlement, il nous a été affirmé plusieurs fois que les «vaccins» à ARNm n’étaient plus en phase expérimentale lorsqu’ils ont été recommandés et administrés à la majorité de la population adulte. Ces deux affirmations sont contradictoires.
Soit les caractéristiques essentielles d’un produit pharmaceutique sont connues et maîtrisées et il est alors possible d’affirmer qu’il n’est plus en phase expérimentale.
Soit ces caractéristiques essentielles doivent encore faire l’objet de recherches et le produit pharmaceutique est expérimental.
La population n’a pas été informée que toutes ces inconnues subsistaient au moment de se faire vacciner ni qu’elles subsistent encore alors qu’il est question dans le secteur pharmaceutique de déployer cette technologie à ARNm non maîtrisée pour les futurs vaccins, notamment pour le vaccin anti-grippe, ou d’autres produits non-vaccinaux.  

Quand une technologie n’est pas prête, puisque que les outils protéomiques in vivo nécessaires à son contrôle ne sont pas encore définis, et que les effets indésirables s’accumulent dans de nombreuses publications, un moratoire sur son usage nous semble la décision médicale la plus sage.
La question fondamentale n’est pas de savoir si les vaccins seront ou ne seront plus en phase expérimentale mais de déterminer si la technologie des « vaccins » à ARNm rencontre les garanties des critères élémentaires de pharmacologie de base attendus de tout médicament. A l’évidence ce n’est pas le cas.

3. Sur le phénomène du self modifié et l’auto-immunité induite par la technologie ARNm

Le Pr Goldman a répondu à cette inquiétude exprimée par un confrère que ce risque n’était qu’hypothétique.
Ce n’est pas une hypothèse, c’est une certitude.

Les phénomènes d’auto-immunité induits par la vaccination ARNm étaient prévisibles par toute personne comprenant comment cette technologie fonctionne. Une cellule musculaire n’a pas de rôle
physiologique pour présenter des antigènes aux cellules immunitaires. Ceci correspond exactement à la situation qui conduit au diabète insulino-dépendant chez les jeunes, où des infections virales répétées conduisent à une expression importante des protéines virales au sein des membranes des cellules pancréatiques, ce qui conduit le système immunitaire à s’attaquer à ces cellules, et donc produit le déficit en insuline.
En conséquence, toute cellule musculaire peut devenir la cible du système immunitaire des patients vaccinés. Les myocardites ne sont que la partie émergée de l’iceberg et de nombreux rapports de cas sont publiés dans le monde entier : myosites, vascularite, utérites…
On sait également à présent que les NPL ne restent pas localisées dans le muscle deltoïde et qu’elles circulent dans l’ensemble du corps pendant au moins 28 jours [4][4]. L’ARNm pénètre donc dans les cellules d’autres organes[5], ces cellules expriment la protéine Spike à leur surface membranaire et cela peut aboutir à d’autres maladies auto-immunes  : hépatites, pancréatites, maladies neurologiques…

Il est choquant d’entendre le Professeur Goldman nier en public un mécanisme connu, qui est de surcroît enseigné dans toutes les Facultés de médecine du pays.
Les cellules musculaires ne sont pas des cellules dendritiques... (pas plus que les cellules endothéliales, hépatiques, pancréatiques ou celles du système nerveux). Dire que le «vaccin» est destiné aux cellules dendritiques alors que les firmes parlent bien d’expression musculaire est peu compréhensible.

Ce qui est hypothétique, ce n’est que la rareté médiatisée de ces effets secondaires.
Les publications récentes prouvent l’inverse.

4. Sur la pharmacovigilance et les effets secondaires

Les orateurs ont reconnu que la pharmacovigilance présentait d’importantes défaillances ce qui est une source d’effets secondaires sous-rapportés, et dans le même temps ils concluent que les effets
secondaires des vaccins sont extrêmement rares (allant jusqu’à utiliser l’exemple de la metformine). Il s’agit là d’une contradiction logique élémentaire stupéfiante et qui de plus ne résiste pas aux données fournies sur le site de l’OMS par les firmes pharmaceutiques elles-mêmes. Sur VigiAccess plus de 10 millions d’effets secondaires graves sont rapportés ce qui est à proprement parler inédit dans l’histoire de la médecine. Aucun orateur n’a mentionné ces données pourtant ouvertes au public.

De plus, une pharmacovigilance défaillante empêche de connaître les odds-ratios par cohortes correctement matchées de chaque effet secondaire et donc de mettre en balance l’efficacité affirmée contre les formes graves et les risques d’un effet secondaire spécifique en tenant compte du dossier médical du patient. A titre d’exemple, l’état de Floride[6] vient récemment de déconseiller la vaccination chez les jeunes à cause d’une surmortalité dans les 28 semaines qui suivent la vaccination.

Les autorités sanitaires ont accepté d’endosser la responsabilité de la surveillance des effets secondaires tout en n’ayant pas le personnel nécessaire pour effectuer l’indispensable pharmacovigilance active renforcée qui incombe normalement aux firmes pharmaceutiques. En l’absence de ce personnel nécessaire, les autorités reportent sur les médecins de terrain la responsabilité d’un système de pharmacovigilance passive qui, et c’est connu depuis longtemps[7] [8], aboutit toujours à une importante sous-évaluation des effets secondaires.

5. Sur le thème des conflits entre contraintes sociétales et libertés individuelles

Les situations de crise présentent un grand risque de décisions précipitées, orientées par des décideurs politiques dont les intérêts sont parfois éloignés de notre problématique sanitaire.
Les droits fondamentaux ont été définis comme étant inaliénables précisément pour protéger les citoyens contre les abus de pouvoir en temps de crise.

Au sein de la société, c’est toujours envers les patients que les devoirs du médecin ont été définis.
Jusqu’en 2017, le serment d’Hippocrate incluait cette phrase : « J’informerai les patients des décisions envisagées, de leurs raisons et de leurs conséquences. Je ne tromperai jamais leur confiance et n’exploiterai pas le pouvoir hérité des circonstances pour forcer les consciences. »
Les modifications apportées en 2017 laissaient déjà présager un début de dérive et les propos tenus lors du symposium ne peuvent que renforcer nos inquiétudes de voir le rôle du médecin devenir celui d’un fonctionnaire prêtant allégeance à l’État et obligé d’obéir à des consignes rassemblées sous le vocable d’EBM, dont on ignore par qui, sous influence de qui et dans l’intérêt de qui elles seront définies.

L’EMBO Journal, et bien d’autres revues, ont attiré l’attention de la communauté scientifique sur les dangers que représentait l’utilisation des EBM à cause des conflits d’intérêts liés aux firmes pharmaceutiques[9].

Les exemples cités par le Pr Clumeck pour illustrer des situations dans lesquelles la loi restreint les libertés individuelles n’étaient absolument pas pertinents. En effet, interdire la conduite sous influence de l’alcool ou interdire de fumer dans les lieux publics ne supprime aucun droit fondamental inaliénable puisqu’aucune Constitution ni Déclaration des Droits de l’Homme ne garantit aux citoyens le droit de boire de l’alcool ou de fumer. Nous ne reviendrons même pas sur la comparaison avec la ceinture de sécurité obligatoire tant il était consternant qu’un Professeur l’utilise pour tenter de convaincre ses confrères de la légitimité de l’ingérence de l’Etat dans les choix médicaux des citoyens.
Il est surprenant de constater la différence quasi « bipolaire » entre une telle ingérence avec les mesures prises pour éviter une ingérence identique en ce qui concerne le Droit pour les femmes à disposer de leur corps en ce qui concerne l’avortement. Ce principe sacré de la maîtrise de son propre corps ne devrait-il pas s’appliquer à tous ?

Nous nous opposons fermement à ce que l’Ordre oublie que la liberté indispensable à une relation médecin-malade basée sur le respect et la raison et qui est au centre du serment d’Hippocrate soit lentement transformée en un entretien visant à appliquer des consignes établies hors contexte, sans
aucune compréhension de l’humanité du patient, et dans l’intérêt (souligné par de nombreuses revues scientifiques), des firmes pharmaceutiques.

Nos patients ne sont ni à vendre ni à acheter. Nous en appelons à un large débat entre consœurs et confrères sur cette dérive de la médecine qui pourrait conduire à ne pas soigner, limiter l’accès aux soins de certains ou cibler des individus.

6. Sur les conflits d’intérêts des orateurs.

Nous déplorons qu’il semble suffire aux orateurs de déclarer leurs conflits d’intérêts pour garantir la neutralité de leurs propos.
Il ne faut pas confondre un congrès organisé par une firme pharmaceutique dans lequel les intervenants sont payés par la firme pour relater l’expérience de leur produit et un symposium organisé par l’Ordre des Médecins dans le but d’ouvrir un débat médical a priori impartial entre consoeurs et confrères.
Dans le futur, l’Ordre se portera-t-il garant du respect de l’interdiction des conflits d’intérêts dans le chef des différents médecins sollicités pour donner leur avis aux décideurs politiques, leur demandant de se révoquer le cas échéant ?
Il serait inacceptable de laisser définir ce qui est le meilleur pour la société par des experts dont l’impartialité n’est absolument pas garantie.
Si l’Ordre juge de la qualité de nos pratiques, il doit exiger de chaque médecin, et surtout des experts médiatisés d’être irréprochables.

Selon les orateurs, les leçons apprises devraient permettre de mieux gérer une future pandémie, sans tergiverser afin de vacciner plus rapidement les soignants et la population.
Nous ne pouvons qu’affirmer notre plus complet désaccord avec cette conclusion du symposium, puisqu’elle est contraire aux faits.

Deux ans après le début de la vaccination contre le covid, il est établi très clairement qu’aucune des
promesses de l’industrie pharmaceutique n’a été tenue.
Relayer médiatiquement ces promesses pour soutenir une vaccination de masse, alors que d’autres voix plaidaient dès le départ pour une vaccination uniquement ciblée sur les personnes à risques, a constitué une faute grave dont les conséquences médicales continueront à être prouvées dans les mois et les années à venir.
Toutes les erreurs scientifiques qui ont été commises durant l’épidémie sont visibles aujourd’hui et, pour la grande majorité d’entre elles, ont été reconnues lors du symposium.
Ces évidences auraient dû amener les orateurs à conclure qu’il serait impératif d’être beaucoup plus prudents à l’avenir.
Le Professeur Rentier a souligné de nombreuses données de la littérature récente, dont celles de Sciensano, démontrant une « efficacité négative de la vaccination ». Autrement dit le statut vaccinal aggrave le pronostic médical en fonction du nombre de doses. Dès lors, cibler le personnel soignant
pour une vaccination obligatoire constituerait une discrimination négative.
Nous pensons qu’il serait important pour la crédibilité des instances ordinales de montrer une meilleure cohérence.

La technologie à ARNm n’est absolument pas maîtrisée actuellement, il faudra encore de nombreuses années pour qu’elle le soit peut-être et elle n’a pas sa place dans les stratégies futures de vaccination, ni à court ni à moyen terme. La promouvoir aveuglément pour servir les intérêts de l’industrie pharmaceutique ou d’autres n’est pas digne de l’idée que nous nous faisons de notre mission de médecin et de la gestion de la Santé.
Si l’intention des orateurs ou de tout autre intervenant est d’en faire un instrument majeur de santé publique, la nôtre restera celle d’informer nos patients de ses risques et de plaider ouvertement pour son arrêt immédiat par toutes les voies qui nous sont possibles.

Nous vous serions reconnaissants d’accuser réception écrite de cette lettre et d’envisager de l’inclure à l’ordre du jour d’une réunion du Conseil de l’Ordre dont nous serions informés.

Afin que personne ne puisse dire qu’il ne savait pas.

Notre but est d’éviter l’utilisation abusive d’une technologie mal maîtrisée, potentiellement délétère pour une partie de nos patients et à leur insu et nous ne doutons pas que vous mettrez tout en œuvre pour instaurer un dialogue[10] sur une base confraternelle et scientifique.

Nous vous prions de croire, Monsieur le Vice-Président, à nos sentiments les plus confraternels.  

Signataires :

  • Dr Alexandre Brigitte, Pédopsychiatre
  • Dr Allen Marie-Louise, Médecin généraliste
  • Dr Andry Cécile, Médecin Généraliste
  • Dr Antoine Philippe, Psychiatre
  • Dr Bachelart Daniel, Pédiatre
  • Dr Baudoux Véronique, Médecin généraliste
  • Dr Beckaert Gaëtane, Médecin généraliste
  • Dr Bernaerts François, Médecin généraliste
  • Dr Bigligiu Teodora, anesthésiste
  • Dr Burlet Olivier, Radiologue
  • Dr Bureau Michel, Neurologue
  • Dr Caruso Frédéric, Anesthésiste-Réanimateur
  • Dr Chayma Chara, Médecin généraliste
  • Dr Colignon Alain, Chirurgien vasculaire
  • Dr Coremans Christine, Cardio-pédiatre
  • Dr Croux Isabelle, Psychiatre
  • Dr Dale Anne-Marie, Médecin généraliste
  • Dr Daubie Pascale, Médecin généraliste
  • Dr Defays Véronique, Médecin généraliste
  • Dr Del Bingo Arnaud, Médecin généraliste
  • Dr Deprez Joël, Anesthésiste
  • Dr Dery Ludivine, Médecin généraliste
  • Dr Devos Philippe, Médecin Homéopathe
  • Dr Duchateau Édouard, Ophtalmologue
  • Dr Espeel Benoît, Interniste et intensiviste adulte et pédiatrique
  • Dr Fernez Pascale, Médecin généraliste
  • Dr Fox Marie-Aurore, Anesthésiste
  • Dr Franchimont Anne, Médecin généraliste
  • Dr Frère Pascal, Hémato-oncologue
  • Dr Genin Jeanine, Dermatologue
  • Dr Goareguer Frédéric, Pédopsychiatreimage1
  • Dr Guilmot Damien, Psychiatre
  • Dr Guiot Françoise, Dermatologue
  • Dr Gyorgyike Lipcsei, Anatomopathologiste
  • Dr Hausmann Caroline, Médecin généraliste
  • Dr Hennuy Véronique, Anesthésie-Réanimation
  • Dr Hoang Philippe, Chirurgien de la main
  • Dr Kayser Laurence, gynécologue
  • Dr Lambot Dany, Chirurgien de la main
  • Dr Laporte Marianne, Dermatologue
  • Dr Lequeu Xavier, Médecin généraliste
  • Dr Laschet Alexandra, Médecine physique
  • Dr Letawe Caroline, Dermatologue
  • Dr Leyh Philippe, Médecin généraliste
  • Dr Lhoest Olivier, Anesthésiste-Réanimateur
  • Dr Locht Bénédicte, Ophtalmologue
  • Dr Louis Frédéric, Anesthésiste
  • Dr Michaud Bernard, Médecin généraliste
  • Dr Montesanti Jessica, Radiologue
  • Dr Mulder Bernard, Médecin généraliste
  • Dr Neuprez Audrey, Médecine physique et Réadaptation Fonctionnelle
  • Dr Nicolay Benoît, Anesthésiste réanimateur
  • Dr Parent Florence, Santé publique
  • Dr Rassart Jacky, Médecin généraliste
  • Dr Résimont Stéphane, ORL
  • Dr Scerbo Franca, Oncologue
  • Dr Perrier Jean-Charles, Médecin du travail
  • Dr Petermans Marie-France, Pédiatre
  • Dr Renard Alain, Médecin généraliste
  • Dr Reymann Judith, Médecin généraliste
  • Dr Skrzypek Benoît, Médecin généraliste, addictologie
  • Dr Tinant France, Médecine physique et réadaptation fonctionnelle
  • Dr Theunissen Émilie, Médecine physique
  • Dr Thiry Sylviane, Médecin généraliste
  • Dr van Stappen Anne, auteure et conférencière
  • Dr Vermer Donald, Gastro-entérologue
  • Dr Wera Marie-Isabelle, psychiatre
  • Dr Wève Alain, Anesthésisteimage2
  • Dr Willemaers Valentine, Dermatologue
  • Pr Zizi Martin, ex Directeur Service Epidémiologie et Biostatistiques à la Défense, MD-PhD, biophysique et biologie moleculaire, ex president de Commission d’Éthique


Les opinions exprimées dans cet article n’engagent que la responsabilité de l’auteur et ne représentent pas nécessairement celles de BAM!

Chapô et illustration de BAM!

Source photo :
OMBBW

[1] Conflicting COVID-19 excess mortality estimates - The Lancet
[2] Age-stratified infection fatality rate of COVID-19 in the non-elderly population
[3] Estimation of SARS-CoV-2 Infection Fatality Rate by Age and Comorbidity Status Using Antibody Screening of Blood Donors During the COVID-19 Epidemic in Denmark
[4] SARS-CoV-2 spike mRNA vaccine sequences circulate in blood up to 28 days after COVID-19 vaccination
[5] Action and Reaction: The Biological Response to siRNA and Its Delivery Vehicles: Molecular Therapy
[6] Exploring the relationship between all-cause and cardiac-related mortality following COVID-19 vaccination or infection in Florid
[7] Un an de recueil prospectif systématique et d’analyse des effets indésirables dus aux médicaments, aux dispositifs médicaux ou aux procédures en médecine générale - ScienceDirect
[8] Les médecins généralistes sous-déclarent les effets indésirables liés aux médicaments: quelles pistes pour améliorer les
[9] COVID-19 and misinformation: Is censorship of social media a remedy to the spread of medical misinformation?
[10] L'arrogance, entre incommunication et imposture stratégique | Cairn.info