Le rideau tombe

Les tribunes
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Dans le théâtre, la première et la dernière représentation sont importantes. Nous avons tous participé à cet opus où nous avons tous découvert notre rôle au jour le jour. Certains semblaient connaître le scénario mais les figurants forcés et contrariés, que nous étions, tous naviguaient à vue en faisant confiance à nos metteurs en scène. Le rideau est en train de tomber. Personne n’applaudit. Aucun rappel. La salle se vide tristement.

Notre salut européen viendra de la justice américaine car dans le reste du monde, la justice est sans « cojones » pour ne pas dire complètement corrompue par les pouvoirs occultes.

La dualité de notre monde entraînera la trahison des Américains par leur propre système judiciaire. Elle est sans pitié mais surtout super vénale. Il y a des montagnes d’argent à aller chercher dans les Big Pharma. 

Il est paradoxal que ce soit le New York Times qui intente une action en justice pour contraindre notre présidente, sans véritables responsabilités, Ursula von der Leyen, à faire toute la lumière sur les contrats Pfizer. En Europe, nous sommes incapables de l'y contraindre… ou peut-être ne le souhaitons-nous pas.

Les chiffres dévoilent les effets secondaires

D’une part, le site Phinance Technologies sort des chiffres édifiants sur les effets secondaires simples et graves ainsi que les morts pour les Etats-Unis. Un nouveau rapport estime que pour 2022, les vaccins covid ont causé 26,6 millions d’effets secondaires, 1,36 millions d’effets secondaires graves et 300.000 morts. Les estimations des coûts sont évaluées à 147,8 milliards de dollars.

En perspective de pourcentage sur une population fixée à 331,9 millions d’habitants américains, cela représente 8 % de gens vaccinés qui souffrent d’effets secondaires, 0,4 % subissent des effets secondaires graves et 0,09 % en sont morts.

Pour rappel, selon Worldometer, le nombre de morts du Covid est de 1.153.972, soit 0,34 % de la population.

Il y a donc 8,5 % de la population qui connaît des problèmes liés aux vaccins. Chiffres sans doute sous-estimés au vu de la déficience évidente de la pharmacovigilance.

8,5 % d’américains dont la vie est souvent brisée par un vaccin vs 0,4 % de morts que le vaccin ne sauvera jamais. La balance est atroce et sévère pour le Big Pharma et les dirigeants américains. La justice américaine risque de plomber les finances des labos mais ne rendra pas la vie belle à 28 millions de ricains.

Source chiffres:
Humanity Projects - V Damage - Economic Impact
Source méthodologie:
Phinance Technologies On measuring excess deaths - US
Source:
COVID - Coronavirus Statistics - Worldometer

Fin de l’acte 1

Erreur de stratégie

On se remémore toutes les images anxiogènes de machines destinées à ventiler les mourants. Ce n’était pas la bonne stratégie, la médecine les tuait. Les médecins américains l’admettent. Des dizaines de milliers de morts par protocole de traitement avec ventilation. Ce n’était pas un problème d’oxygénation au niveau des poumons mais du sang. Cela se savait depuis fin avril 2020.

Les lanceurs d’alertes à ce sujet ont été reniés et censurés. Des centaines de milliers de personnes auraient pu être sauvées. L’OMS qui dictait les règles des traitements pourrait être poursuivie pour crime ou malversations contre l’humanité. Mais on ne peut pas attaquer l’OMS.

Parallèlement, les spécialistes internationaux qui préconisaient l’usage de l’Ivermectine étaient aussi spoliés, censurés, injuriés et étouffés.

Vous me direz. L’urgence a fait que tout a été précipité avec un risque d’erreur accru. L’erreur est scientifique. La science est basée sur des faits empiriques. Trop peu d’autopsies ont été effectuées. Le Big Pharma gérait tout à distance dans un évident objectif de ventes des très lucratifs vaccins.

Il est absolument improbable que tous les laboratoires puissent dans un aussi court laps de temps fabriquer des vaccins sans nous mettre en danger. Nous étions des véritables souris de laboratoire pour ceux, que nous ne sommes pas, qui se sont fait vacciner. L’expérimentation est un échec. C’est évident.

Source:
US-Ärzte gestehen: Durch Behandlungs-Protokoll mit Beatmung Zehntausende getötet

Fin de l’acte 2

Une surmortalité surprenante

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L’Onu annonce une surmortalité de 23,5 millions en 3 ans dont 16,9 millions pour raisons « inconnues ». Pour rappel, l’ONU est le principal forum mondial où les pays peuvent soulever des questions, discuter des problèmes les plus complexes et y apporter une solution commune.

Je cite l’AIPRI. Association Internationale pour la Protection contre les Rayons Ionisants. L'AIPRI a pour but la divulgation scientifique dans le domaine de la physique nucléaire et des dangers radiologiques de la contamination interne. Ce texte est diffusé sur le site Réseau International :
Les données catastrophiques que nous publions ici sont des données publiques et officielles de l’ONU. On les trouve dans ses tables électroniques sur la population mondiale. Elles sont très librement téléchargeables mais ne sont pas consultables en ligne. On les rencontre uniquement en chiffres dans les tableurs et seulement si on les cherche avec soin. Rien ne les relate dans les derniers écrits de l’ONU sur la population et les mouvements qui l’animent. Rien n’invite à leur investigation. Rien n’en est dit dans les presses officielles ou parallèles qui ne lisent au demeurant que les rapports sur papier glacé, rebutent à la consultation des données brutes, s’évitent l’inutile contrôle de cohérence entre les propos et les nombres même lorsqu’il s’agit de démographie.
À strictement parler, elles ne sont en aucune façon censurées mais simplement omises des écrans, des commentaires et des esprits délicats.  Un peu comme “La lettre volée dEdgar Alan Poe, bien qu’en vue, ces données de salut public sont logées avec soin hors de portée du savoir public. On confie pour cela dans la paresse à aller les débusquer de la part de ceux qui risquent bientôt de se faire happer par inadvertance ou par peur de la peur en plus grand nombre encore. Nous en fournissons ci-dessous une copie d’écran fragmentaire à mode de preuve, sans surlignage ni manipulation. Mais nous exhortons néanmoins quiconque à les auditer personnellement après téléchargement sur le site de l’ONU.
Elles sont en effet si épouvantablement au-delà de ce que, bercés d’illusions idéologiques sur notre suprématie savante, l’on peut aujourd’hui imaginer et si politiquement incorrectes en ce qu’elles incriminent d’office non seulement la campagne vaccinale mais également toutes les mesures toxiques de confinement, de distanciation, de désocialisation qui ont accru la misère matérielle et affective un peu partout dans le monde, qu’elles poussent d’instinct à les rejeter, à les dégager sans enquêter, à les prendre d’emblée pour de la désinformation et des « fake news ».
Quelques clics suffisent pourtant à les constater à l’ONU. Quelques clics et un peu d’arithmétique suffisent à comprendre qu’au lieu de 175,9 millions de morts « normaux » attendus en 3 ans de 2020 à 2022, il y en a eu 199,5 millions. Ce sont là au moins 23,6 millions de trop parmi lesquels on ne trouve « que » 6,7 millions pour « Covid » si l’on en croit l’OMS. Ces 23,6 millions de victimes supplémentaires qui somment plus que la boucherie de la Première Guerre mondiale et en moins de temps, sont les rebuts abjects de l'omniscience technocratie politico-médicale dont l’œuvre macabre s’est déroulée à l’opposé des intentions claironner de protection et de sauvegarde de la santé publique universelle. Ces montagnes de cadavres indicibles sont les cobayes sacrifiés d’une guerre avide déclenchée mais non déclarée contre la « surpopulation ». Ce sont les victimes que l’on cache et que l’on ne commémore surtout pas. À quoi bon risquer d’échapper à l’hécatombe majeure qui se préfigure là en éveillant les consciences ?

Source:
L'ONU annonce une surmortalité de 23,6 millions en 3 ans dont 16,9 millions pour raisons « inconnues »

Fin de l’acte 3 

Je résume

Les 3 actes manqués démontrent la série d’erreurs de gestion de la pandémie avec des chiffres et preuves indéniables. La science a été manipulée par l’appât du gain. A moins de faire preuve d’une malhonnêteté inouïe, cela devrait faire bouger les lignes. Nos dirigeants ne peuvent plus se retrancher derrière l’urgence. La pandémie est officiellement finie. Il est temps de tirer les leçons. D’écouter ceux qui avaient raison depuis le début. Leur unique erreur réside dans le fait que leur solution ne générait pas de profit, ne permettait pas d'exercer un contrôle, n’engendrait pas la peur soumise et ouvrait la voie à un scénario écrit de longue date. Parfois, avoir raison trop tôt est une erreur..
Diriger un pays ou le monde, c’est finalement facile. Vous vous entourez de spécialistes que vous payerez très cher pour établir des stratégies, vous mettez un pare-chocs de scientifiques qui cautionnent les discours, vous motivez la presse mainstream que vous soutenez financièrement, vous sensibilisez les plus grands influenceurs du monde qui sont souvent riches tout en leur permettant de devenir encore plus influents et riches et vous culpabilisez le public si le spectacle ne se déroule pas comme prévu. On nous a reproché le manque de discipline dans les règles imposées.
En Belgique, la moitié de la population a été parfaitement panurgiste. Nous avons subi une faible résistance. Pour preuve, l’application d’identification itsme a vu son nombre d’utilisateurs croître de 11% l’an dernier en Belgique, à 6,7 millions. 80 % des Belges entre 16 et 74 ans possèdent aujourd’hui un compte itsme. Ceux-ci ont utilisé l’application pour effectuer 315 millions d’actions en 2022, soit une moyenne annuelle de 47 par utilisateur.
Itsme, c’est un consortium de quatre grandes banques belges : Belfius, BNP Paribas Fortis, ING et KBC et de trois opérateurs de téléphonie mobile : Orange Belgium, Proximus et Telenet. C’est un CST électronique. 8 belge sur 10 se sont jetés dans la gueule du loup. Pour rappel, Belfius et Proximus sont intégralement détenus par l'État.
Source:
Itsme : 6,7 millions d'utilisateurs en Belgique - Trends-Tendances.

On fait quoi ?

Nos dirigeants sont à classer dans deux catégories: “Je savais mais j’ai obéi”. “Je ne savais rien et je suis tombé des nues”. Dans les deux cas, c’est inacceptable.
Nous regrettons depuis le début de la crise la condescendance, la censure et la complicité du monde politique et médiatique. C’est cela même qui a engendré la naissance des collectifs comme Notre Bon Droit ou BAM!.
Nous avons vu en 3 ans nos cercles d’amis se déchirer sur la question du vaccin, nos potes entrepreneurs crouler financièrement, nos artistes non considérés se sentir vidé de tout sens, nos enfants privés de visites de leurs grands-parents, de voyages, de vies, de fête, … Tout cela pour rien. Absolument rien.
Cela suffit. La clarté totale doit être faite. Les responsabilités doivent être assumées. Les coupables ont pour devoir d’accepter de lourdes peines. Nous sommes une minorité à rester debout et fier. Malgré notre détermination, nous avons, parfois, mis un genou à terre. Douté, réfléchi, pleuré.
Nous n’avons de cesse que de chercher à convaincre le ventre mou des « doutistes ». Qui regrettent d’avoir suivi la Doxa. C’est une guerre à la baïonnette. Un corps à cœur. Les résultats sont lents et faibles.
Le 14 juin 2021, Julien Reicheld, le rédacteur en chef du Bild Magazine, le plus quotidien européen a demandé pardon pour le traitement de l’information lié aux enfants dans la crise Covid. Aucun autre média n’a fait une once de mouvement dans ce sens.


 

Mon rêve!

Notre vision positive, optimiste et même utopique serait que les médias de divers horizons puissent unir leurs idées lors d'un large débat public, dans le but de dialoguer, se comprendre et s'accepter mutuellement. De pouvoir tous ensemble tirer les leçons de cette vilaine comédie. La presse officielle doit être ce contre-pouvoir.
Il n’est pas normal que des citoyens assument ce rôle et que ce soient des médias alternatifs qui offrent à des éminents spécialistes, tels que le Professeur Bernard Rentier, la possibilité de s'exprimer sur un sujet dans lequel leurs compétences sont reconnues. Et il n'est pas juste que ces mêmes médias alternatifs soient à ce point décriés, spoliés et censurés.
La Belgique est une démocratie dont le slogan, c’est : « L’union, c’est la force ». C’est le moment de le prouver. Non ? Nos Diables Rouges viennent après 69 ans de faire tomber la Manschafft au football. Virginie Efira, Bouli Lanners, Stromae, Angèle, Pierre de Maere, … sont sur le toit du monde artistique. Humainement, nous devons nous solidariser pour que cette mauvaise pièce ne soit plus à l’affiche. Et que les mauvais acteurs soient honnis de la troupe.
Fumons le vaccin de la paix !
On peut rêver. Non ?

Pietje Schramouille


Les opinions exprimées dans cet article n’engagent que la responsabilité de l’auteur et ne représentent pas nécessairement celles de BAM!

Chapô et illustration de BAM!

Source photo :
Image originale de shocky sur Adobestock