Les médecins de ville écartés et des pistes inexplorées. Pourquoi ?

Car finalement, le meilleur moyen de ne pas surcharger les hôpitaux qui sont en permanence au bord de la rupture, c’est de prendre en charge les malades en amont pour qu’ils n’arrivent pas jusqu’à l’hôpital, et surtout pas jusqu’en réanimation. Et c’est un des aspects qui n’a pas été assez mis en avant… et qui fait l’objet de potentiels scandales en puissance dont nous allons reparler un peu plus loin.

Entre l’épidémie de mars et celle d’octobre, ce qui est indiscutable, c’est l’évolution du nombre de lit en service de réanimation, qui est passé de 5 000 lits en mars à… 5 000 en octobre ! Si le nombre de lits de réanimation n’a au moins pas été réduit ces dernières années (5334 en 2013, 5432 en 2018, d’après les données de la DREES), il semble tout de même insuffisant… En moyenne 50 lits de réanimation par département seulement !

Les hôpitaux sont devenus le centre de toute l’attention, l’un des principaux indicateurs, presque plus encore que le risque réel du virus. Il ne serait pas primordial de trouver des traitements pour soigner la Covid, mais plutôt de ne pas engorger les services de réanimation. Images choc, tri des malades, report d’opération… à pieds joints dans l’émotion. Tant que les services de réanimation risquent d’être sous tension, les citoyens doivent rester enfermés, à contempler leur monde s’effondrer.

Comme on l'a vu précédemment, il est difficile de faire confiance aux chiffres. Dès lors, pour évaluer l’impact de la Covid sur la mortalité, il peut être intéressant de comparer la mortalité toutes causes confondues en 2020 avec celle des années précédentes pour faire ressortir la surmortalité. En créant des courbes à partir de ces données, disponible auprès de l’INSEE, on s’aperçoit qu’en dehors d’un véritable pic au printemps, on est très loin de la terrifiante hécatombe qu’on nous vendait en début d’année et qui continue à servir de justification à des mesures inouïes, jamais prises en temps de paix.

Aujourd'hui j'ai envie de vous dire quelques vers
Parce que la poésie ça rend le réel moins vulgaire
Et qu’en ces temps de violence et de conflit
L’art est essentiel à nos vies.

En novembre 2020, on comptabilise 1 300 000 morts de la Covid dans le monde (sous réserve d’un comptage fiable, comme on vient de le voir). C’est terrible, c’est indiscutable. Le chiffre est impressionnant. On a décidé que la Terre devait donc s’arrêter de tourner… et pourtant…

Un décompte généreux

Rappelons qu’on peut mourir de la Covid, tout comme on peut mourir d’une pneumonie ou d’une grippe (même si c’est plus rare), mais que l’immense majorité des personnes qui croisent le virus ne développent pas de symptômes ou contractent la maladie et guérissent rapidement.

La Covid est une réalité. Mais quel est le risque réel ? Les mesures prises sont-elles justifiées ? Beaucoup d'informations ne circulent pas. Pour tenter une autre histoire de la Covid, j’ai compilé plus de 2000 ressources afin de déterminer des certitudes, émettre des hypothèses, poser des questions.... Cette démarche s'est soldée par la production d'une publication de 80 pages. 

BAM vous en propose la lecture sous forme d'épisodes thématiques quotidiens (du mercredi au dimanche).

Depuis plus d’un an, j’écoute et je suis des directives qui pourtant ont prôné tout et leur contraire.

J’enfoncerai ici quelques portes ouvertes mais je pense qu’il est important de se souvenir que le port du masque est passé de superflu à essentiel, nous avons dû rester enfermés chez nous, nous avons pu ressortir, voir nos amis par groupe de 10, 4, 2…