Ceci est un billet d’humeur à destination des alarmistes qui donnent du sens à leur vie en menant une croisade au nom du « sanitairement correct ». Je l’écris à la suite d’un échange ayant eu lieu dans un groupe d’infirmiers et d’infirmières sur lequel on m’a demandé d’intervenir. Le thème du fil de discussion était la vaccination chez les enfants.

Depuis la mi-juin, le « Pass sanitaire européen » facilite les voyages en Europe. À compter du 13 août, le « Covid Safe Ticket » entrera en vigueur en Belgique pour les événements extérieurs rassemblant plus de 1500 personnes et, à partir du 1er septembre, il sera utilisé en intérieur également.
Le « Covid Safe Ticket » sera réservé aux personnes qui présentent un test PCR négatif de maximum 48 heures, ou qui sont vaccinées tout à fait depuis deux semaines, ou qui ont un certificat établissant qu'elles ont eu la Covid, ce dernier étant limité à 180 jours après le dernier test PCR positif.

Cette question, quand on lit l’éditorial de Béatrice Delvaux dans Le Soir du mercredi 8 décembre , on est en droit de se la poser. Cette ode presque lyrique au vaccin intervient à un moment précis, celui où la population belge découvre avec stupeur que les personnes vaccinées attrapent le covid, font des formes graves du covid, transmettent le covid et remplissent les hôpitaux.

Dans une tribune au vitriol, notre chroniqueur Pierre Chaudoir exprime sa colère contre les élus du peuple belge qui ont adopté, en plein été, la “loi Pandémie” ce 15 juillet 2021, alors que, ce jour-là, le sud du pays était dévasté par des inondations.

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