504 experts en cybersécurité, chercheurs et associations citoyennes de 36 pays lancent un avertissement sur le projet d’identité numérique de l’UE dans une lettre ouverte[1].
Ils attirent l'attention du Parlement européen et du public sur les risques accrus de surveillance et de failles de sécurité qui pourraient nuire à l'objectif de sécurité et de confidentialité que la commission prétend poursuivre. En outre, cette réforme offrirait aux autorités une opportunité inédite de contrôle des citoyens.
BAM! passe au crible les dangers du projet eIDAS2.

Le parti politique belge Vivant Ostbelgien se joint à la plainte de Frédéric Baldan contre Ursula von der Leyen. Cette action, qui fait suite à des préoccupations sur la négociation des contrats de vaccins avec Pfizer/BioNTech, met en lumière des accusations sérieuses d'abus de pouvoir, de destruction de documents publics et de corruption.

Après le DSA, c’est le vote fédéral du CADA qui est passé sous silence par les journalistes de la presse autorisée…
Tous les journalistes?! Non, un seul résiste encore à l’envahissant gouvernement.

Aujourd’hui, mercredi 20 septembre, les chefs d'État et de gouvernement membres de l’ONU sont invités à adopter une déclaration sur la prévention, la préparation et la riposte face aux pandémies. Un chèque en blanc pour une révision du Règlement Sanitaire International et un accord qui souhaite donner à l’OMS un pouvoir de gouvernance globale en cas de crise sanitaire.

Des articles du DailyMail et du The Guardian révèlent que l'Union européenne envisage de légaliser l'installation de logiciels espions sur les téléphones des journalistes. Cette mesure vise à découvrir les sources des journalistes dans les affaires présumées d'atteintes aux intérêts de l'État. Outre le caractère arbitraire du vocable “présumées d'atteintes aux intérêts de l'État”, ce projet va à l'encontre du principe de protection des sources journalistiques. Il émane des Institutions Européennes, ce qui soulève des préoccupations quant à la préservation du bien commun et du respect des droits humains.

“Le Vif” de ce 13 avril révèle une information qui fait l’effet d’une bombe.
C'est en effet une première dans la fameuse saga des achats de vaccins Covid-19[1]: Un citoyen porte plainte au pénal contre Ursula von der Leyen pour « usurpation de fonctions et de titre », de « destruction de documents publics » et de « prise illégale d’intérêts et corruption ».

Le Royaume-Uni est sous le choc après la divulgation par The Telegraph des "Lockdown Files": 100 000 messages WhatsApp échangés entre Boris Johnson, Matt Hancock, ancien secrétaire d’état à la Santé, Simon Case, secrétaire du cabinet, et d'autres fonctionnaires depuis le début de la pandémie de Covid-19 en 2020.
BAM! a décodé pour vous le Telegraph.

Le manque de transparence de la Commission européenne lors de l'achat de 4,2 milliards de doses de vaccins Covid a suscité l'indignation de plusieurs députés européens. Ceux-ci ont exigé des éclaircissements. En vain.