En Allemagne, c'est un rapport officiel, complet et précis, de l'Institut Paul-Ehrlich, dépendant du Ministère de la Santé, qui le révèle : sur plus de 172 millions de doses de vaccin administrées entre décembre 2020 et avril 2022, il y a eu un effet secondaire grave suspecté toutes les 5 000 injections [1], soit au total plus de 34 000 effets secondaires graves rapportés jusqu’à présent.

"Avec le concours des meilleurs épidémiologistes mondiaux, dont les avis avaient été passés sous silence depuis plus de deux années par la censure, plusieurs États et juges fédéraux américains sont en train, par leurs diverses actions, de faire de grandes avancées vers la vérité sur la Covid-19 et la campagne de vaccination qui s'en est suivie sur le plan mondial."

Validé par l’Union Européenne samedi 23 avril[1] dernier, le Digital Services Act contraindra, à partir du 1er janvier 2024, les réseaux sociaux et moteurs de recherche à censurer encore plus qu'ils le font actuellement, sous peine de lourdes amendes. Pourquoi l'Union Européenne entreprend-elle de restreindre la liberté d'expression et d’accroître la censure en ligne ?

Les experts ont rendu mardi 5 juillet le projet de réforme fiscale envisagé par le gouvernement belge à partir de 2022. Cette réforme prévoit des changements radicaux dans notre régime fiscal. A la lecture, on peut se demander si ce projet de loi se fait au profit des citoyens belges ou pour le compte d’instances internationales sans aucune légitimité démocratique.

Jusqu’ici nous avons vu, comment l’Union européenne (UE) et ses institutions, en particulier la Commission européenne, s’ingèrent dans la formation de l’opinion publique via la construction propagandiste de dangers extérieurs – la Russie – et intérieurs – les « anti-vaxx » voire, au sens élargi, toute frange du peuple en désaccord avec son agenda. Dans cet épisode, nous revenons sur la communication sur la « Coopération renforcée contre les maladies à prévention vaccinale » de la Commission européenne,afin de montrer la griffe d’une des lobbyistes pharmaceutiques les plus influentes en Europe, voire au monde : Heidi Larson.

Dans une consultation publique, disponible encore jusqu’au 22 juillet 2022, la Commission Européenne demande l’avis des citoyens européens sur l’avenir de la réglementation des OGM de dernière génération, les Novel Genomic Techniques (NGT, fr. Nouvelles Techniques génomiques, NTG [1]). Seulement, comme on a pu l’observer lors de la consultation publique sur la vaccination en 2018, un certain biais pro-NTG est palpable. Pour la Commission, la question semble déjà tranchée : les NTG échappant aux réglementations OGM actuelles vont arriver. « Que vous en vouliez ou non, peu importe, signez là s’il vous plait. »

A l’épisode précédent nous avons vu qu’il y déjà quelques années que les institutions européennes œuvrent à la construction propagandiste d’un ennemi extérieur, en l’occurrence la Russie, qui sert à justifier sa politique de censure, qu’elles intitulent « lutte contre la désinformation ». C’est un exemple qui montre comment propagande et censure travaillent main dans la main. Mais la propagande et, in fine, la censure de l’UE ne visent pas qu’un ennemi extérieur, elles se retournent contre le peuple, en catégorisant comme danger intérieur, toujours, d’abord qu’une frange dissidente de la population. Déjà en 2018, la Commission Européenne identifiait l’hésitation vaccinale comme un danger, dans sa communication « Lutter contre la désinformation en ligne : une approche européenne» [1].