Censure : Amnesty International se trompe de cible
Quiconque s’interroge ou critique ouvertement les mesures prises par son gouvernement, face à la menace du sars-cov-2, risque la censure ou la sanction. Un rapport [1] récent d’Amnesty International dénonce, à juste titre, le recul de la liberté d’expression dans le monde, fin 2019 et en 2020. Mais il occulte purement et simplement les exactions perpétrées par les États et leurs relais, dès le début de l’année 2021, au nom d’une « nécessaire » vaccination. Autre élément interpellant : le rapport met en avant l’idée d’une « propagation virale de mésinformation », qui déforcerait la cause vaccinale.