Résumons : L’année 2020, an 1 de l’ère Covid, a été une année incroyablement et extraordinairement créative.

En 2020, on a inventé la conversation sans sujet (autre que covid), la machine à café du bureau sans collègues - sans café donc -, la réunion sans présence, le contrat de vente sans poignée de main, le printemps sans sortir de chez soi, les courses sans faire les courses, le carnaval sans Gilles de Binche.

Camarades,

Je m’adresse à vous comme je m’adresserais à Dieu ou à tout autre symbole auquel nous voudrions croire. La liberté qui nous a été impunément retirée ces derniers temps se doit de revenir, elle se doit de nous bercer à nouveau, mais pour cela la coalition d’un seul peuple doit se faire de toute urgence.

Aaaaaah, le Peuple a été entendu... Ça y est, on va pouvoir revoir des gens, des amis, la famille... Aaaaaah, l'horeca va pouvoir rouvrir, les voyages non essentiels vont de nouveau être tolérés, concerts, musées, etc.

Vraiment?

Ceci ne vous a -t-il jamais intrigué? Nos compagnies d’énergie privées nous suggèrent sans arrêt de faire des économies sur nos consommations, ce qui est étrange pour des firmes basées sur la croissance et le profit.

Le monde qui s'érige devant nous était, il y a encore un an, une folie complotiste. Les masques, le couvre-feu, la vaccination («fortement conseillée»...), le pass sanitaire. Toutes ces choses, certains d'entre nous les avaient écrites, les avaient verbalisées, les avaient "prédites". Au risque même de perdre de la famille, des amis, des collègues.

Camarades,

Cela fait maintenant depuis le 18 mars 2020 que le gouvernement a décidé d’enfermer sa population afin de lutter (comme ils disent) contre la propagation du coronavirus. Les personnes âgées, fragiles et arborant des antécédents médicaux constituent grandement les citoyens à risques de cette pandémie, il était donc bien évidemment légitime de les protéger.

Ce régime sanitaire obscène et inique et ses collaborateurs de tout poil ne m'inspirent que le dégoût et le mépris.

Et une colère légitime et cathartique.

"Plusieurs scientifiques interrogent: "Où sont, en Belgique, les études scientifiques démontrant l'impact significatif de la fermeture des auditoires, salles de sport, théâtres, salons de coiffure, bars et restaurants, de l'obligation généralisée du port du masque, de la création de "bulles" de contacts, de l'instauration d'un couvre-feu, de l'interdiction de voyages et du confinement?"

Voilà, quelques semaines après sa sortie, ce très bon documentaire subit une nouvelle censure.
Ce qui est choquant, grave et qui pose vraiment question sur la liberté d'expression.

Cher Monsieur Coppieters,

C'est en tant qu'ancien de l'ULB, collaborateur scientifique ISEPK-ULB, chercheur en neurosciences et auteur de nombreuses études scientifiques dans le cadre d'un doctorat à l'ULB que je vous interpelle.