Le monde qui s'érige devant nous était, il y a encore un an, une folie complotiste. Les masques, le couvre-feu, la vaccination («fortement conseillée»...), le pass sanitaire. Toutes ces choses, certains d'entre nous les avaient écrites, les avaient verbalisées, les avaient "prédites". Au risque même de perdre de la famille, des amis, des collègues.

Camarades,

Cela fait maintenant depuis le 18 mars 2020 que le gouvernement a décidé d’enfermer sa population afin de lutter (comme ils disent) contre la propagation du coronavirus. Les personnes âgées, fragiles et arborant des antécédents médicaux constituent grandement les citoyens à risques de cette pandémie, il était donc bien évidemment légitime de les protéger.

Ce régime sanitaire obscène et inique et ses collaborateurs de tout poil ne m'inspirent que le dégoût et le mépris.

Et une colère légitime et cathartique.

"Plusieurs scientifiques interrogent: "Où sont, en Belgique, les études scientifiques démontrant l'impact significatif de la fermeture des auditoires, salles de sport, théâtres, salons de coiffure, bars et restaurants, de l'obligation généralisée du port du masque, de la création de "bulles" de contacts, de l'instauration d'un couvre-feu, de l'interdiction de voyages et du confinement?"

Voilà, quelques semaines après sa sortie, ce très bon documentaire subit une nouvelle censure.
Ce qui est choquant, grave et qui pose vraiment question sur la liberté d'expression.

Cher Monsieur Coppieters,

C'est en tant qu'ancien de l'ULB, collaborateur scientifique ISEPK-ULB, chercheur en neurosciences et auteur de nombreuses études scientifiques dans le cadre d'un doctorat à l'ULB que je vous interpelle.

Finalement, la crise du Covid m'a fait gagner beaucoup de temps et un peu d'argent : je ne regarde plus la télévision, je ne crois plus aux nouvelles données par les journaux, je n'achète plus de magazines appartenant aux grands groupes de presse...  

La liberté est un concept qui nous appartient à tous individuellement. Ma valeur "liberté" n'est pas la même que chacune des vôtres. En effet, je me sens libre le matin si je me lève une heure avant mon départ alors qu'un(e) autre se sentira libre s’il/elle se lève cinq minutes avant de partir.

Je commence par des points de suspension. Je marque mon ahurissement ou mon dégoût, je ne sais pas, je ne sais plus. Je vous laisse le lien vers l'article et le reportage qui me fait ne plus savoir quoi penser et comment peut-on faire l'apologie de ces actes...