Nous dénonçons l'impact négatif du port du masque obligatoire à l'école (carte blanche)

Revues de Presse
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"Conscientes des impacts négatifs du port du masque obligatoire dans les écoles, des associations se mobilisent et écrivent aux directions d'établissements."

"- Envisager de masquer les enfants de moins de 12 ans n'a pas de sens sur la base des données scientifiques actuelles."

"- Les enfants ne doivent donc pas faire l'objet d'une mesure d'ordre politique, non basée sur les faits scientifiques et qui auront des effets délétères et potentiellement irréversibles sur eux."

"- La mesure que prend la Belgique est en totale contradiction avec les recommandations de l'OMS qui préconisent le port du masque chez les jeunes enfants comme devant demeurer l'exception et qui met en garde contre les nombreux effets indésirables qu'il engendre, en particulier chez les jeunes enfants qui le supportent particulièrement mal."

"Représentant différents mouvements citoyens, Notre Bon Droit, l'Antenne belge de Réinfocovid, Revivance, Oxigène, nous mettons en demeure les directeurs et directrices d'écoles de faire cesser l'obligation du port du masque pour les enfants. Pour cela, nous nous basons sur des arguments médicaux et juridiques."

"En effet, si le gouvernement impose le port du masque aux enfants, il convient de penser que c'est par principe de précaution pour enrayer l'épidémie de Sars-Cov-2. Ce principe de précaution est remis en doute et contrebalancé."

"Tout d'abord par l'OMS lui-même qui, lors d'un avis du 5 juin 2020, toujours d'application conseille aux États membres "de ne pas rendre le port du masque buccal obligatoire, mais de recommander qu'il soit porté"."

"Cet avis provient du constat qu'il n'existe aucune preuve scientifique que les masques buccaux portés par les jeunes entraînent moins d'infections."

"Le principe de précaution évoqué plus haut, va même plus loin car les masques chez les enfants (et même dans la population générale), ne sont pas inoffensifs."

"Plus précisément, une étude allemande sur 26000 enfants et adolescents relève les impacts négatifs majeurs sur leur santé physique, psychologique et comportementale. 68% d'entre eux ont présenté des problèmes de santé (24 différents en tout) parmi lesquels:

- irritabilité (60%),

- maux de tête (53%),

- difficulté à se concentrer (50%),

- moins de bonheur (49%),

- réticence à aller à l'école / à la maternelle (44%),

- malaise (42%), troubles d'apprentissage (38%),

- somnolence ou fatigue (37%)..."

"La neurologue de renommée mondiale, Dr Margareta Griez-Brisson met en garde contre les effets graves induits par la privation d'oxygène (hypoxémie), associés à l'augmentation des concentrations de CO2 (hypercapnie), dues au port du masque toute la journée chez nos enfants sur une longue période."

"Elle ponctue par ceci: "L'enfant a besoin du cerveau pour apprendre, et le cerveau a besoin d'oxygène pour fonctionner. Nous n'avons pas besoin d'étude clinique pour le savoir. C'est un fait physiologique simple et incontestable. Un manque d'oxygène provoqué consciemment et délibérément est un danger absolu pour la santé, et une contre-indication médicale absolue. En médecine, une contre-indication médicale absolue signifie que ce médicament, cette thérapie, cette méthode ou mesure ne doit pas être utilisé, et n'est pas autorisé à être utilisé. Pour contraindre par la force toute une population à utiliser une contre-indication médicale absolue, il faut qu'il y ait des raisons précises et sérieuses à cela, et ces raisons doivent être présentées à des organismes interdisciplinaires et indépendants compétents, pour être vérifiées et autorisées.""

"Par ailleurs, aucune des trois lois mentionnées par le ministre ne pouvait être interprétée de manière à obliger les enfants à porter des masques à l'école. Aucune de ces trois lois ne permet de prendre des mesures à long terme, et encore moins d'obliger les enfants à porter des masques buccaux."..."

"Nous avons connaissance de l'application de mesures abusives appliquées au sein de certaines écoles pour faire respecter ces arrêtés ministériels. Ces abus ont été mis en lumière par des collectifs de parents."

"Sur base de ces arguments médicaux et juridiques, les associations réunies insistent auprès des directeurs et directrices d'écoles sur leurs responsabilités, autant que sur leur sens éthique et moral et terminent par une mise en garde: sachez qu'en restant passifs, maintenant que vous voilà prévenus, vous serez en infraction par rapport, NOTAMMENT, aux articles 28, 29, 32 et 37 de la Convention Internationale des Droits de l'Enfant, le plus haut niveau de référence qui soit."


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