Des parents allemands décident de ne plus envoyer leurs enfants à l’école, les autorités locales leur envoient un commando des forces spéciales !

Le jeudi 20 janvier 2022, les autorités de la ville d’Erlangen en Bavière (Allemagne), ont décidé de vider une « école illégale » autogérée par des parents d’élèves soucieux de protéger leurs enfants des effets néfastes liés aux mesures anti-covid [1]. Les autorités ont littéralement pris d’assaut le bâtiment à l’aide d’une unité anti-terroriste.

A l’épisode précédent nous avons vu qu’il y déjà quelques années que les institutions européennes œuvrent à la construction propagandiste d’un ennemi extérieur, en l’occurrence la Russie, qui sert à justifier sa politique de censure, qu’elles intitulent « lutte contre la désinformation ». C’est un exemple qui montre comment propagande et censure travaillent main dans la main. Mais la propagande et, in fine, la censure de l’UE ne visent pas qu’un ennemi extérieur, elles se retournent contre le peuple, en catégorisant comme danger intérieur, toujours, d’abord qu’une frange dissidente de la population. Déjà en 2018, la Commission Européenne identifiait l’hésitation vaccinale comme un danger, dans sa communication « Lutter contre la désinformation en ligne : une approche européenne» [1].

Ce n’est pas de censure dont nous allons parler principalement dans cette série, car la censure, dans ce cas-ci et en général, est trop flagrante, vulgaire et grossière. A tel point qu’il est parfois difficile d’en parler tellement son illégitimité est évidente. C’est d’ailleurs pourquoi beaucoup de censeurs s’en défendent d’office et sont les premiers à nier son existence. Non, c’est de son revers de médaille poli dont nous allons parler : la propagande, beaucoup plus sophistiquée et sournoise. Elle passe d’abord par la construction d’un ennemi extérieur. Sa cible de prédilection ? La Russie.

Depuis deux ans l’opposition aux régimes liberticides des mesures sanitaires débat la question : cette pandémie est-elle orchestrée ou non ? Ne fût-ce que songer à cette question aura valu aux opposants l’étiquette de « complotiste ». Et s’il y avait une enquête pouvant apporter une réponse à cette question afin de trancher le débat ? C’est l’objet d’« Inside Corona », de Thomas Röper (2022) [1].

C’est une analyse avec un angle qui n’est ni plus ni moins que le fruit objectif de l’analyse étayée de plusieurs centaines de sources et, surtout, d’une base de données contenant des métadonnées publiques tirées du web. Ce livre a tellement fait parler de lui, qu’il était déjà en rupture de stock avant sa publication ! Voici en exclusivité pour les lecteurs de BAM! le résumé de ce livre très touffu non encore traduit en français.

Plus d'articles...