Plus d’un an et demi de mesures sanitaires ont eu raison de la santé mentale des jeunes en les privant de contacts, de jobs et d’études. Ballotés quasiment au jour le jour entre les mesures gouvernementales et scolaires, ils ont parfois été stigmatisés, parfois physiquement brutalisés, dans tous les cas maltraités. Le bilan de la crise sanitaire sur la jeunesse est accablant. L’intérêt supérieur de l’enfant, notion juridique fondamentale du droit, aurait-il été négligé, voire ignoré par les décideurs politiques pendant la crise ?

© BAM! Vick

Au cœur de la propagande vaccinale, une ligne rouge vient d’être franchie : celle de cibler nos enfants, de les englober dans l’hystérie du « tout vacciné ». Les écoles de la Région bruxelloise s’engagent dans une croisade de santé publique. Il y a « urgence », nous dit-on ! Sensibilisation des élèves et vaccination scolaire contre le COVID 19 sont au programme de pléthore d’établissements secondaires[1]. Un seul et même objectif pour les communautés francophone et néerlandophone : toucher la tranche d’âges des 12-17 ans. De quoi susciter quelques questions lourdes d’inquiétudes.

La « majorité médicale » inventée par les autorités belges pour contourner l’autorité parentale sur la vaccination des mineurs n’est pas aussi simple, au regard de la subtilité de la loi. Audrey Lackner, avocate au barreau de Bruxelles, fait le point sur les fondements juridiques de cette question complexe [1]. Pas simple non plus, l’application du consentement lorsque les deux parents ne sont pas du même avis.

Si le fondement du pass sanitaire est bien la santé publique, alors l’Autorité demande d’exclure une série de lieux et événements de la liste de ceux qui sont soumis au pass : « les événements et les festivals qui se déroulent ‘en mode statique’, les restaurants ou encore les cinémas, les théâtres et les musées. »

Luc Montagnier est décédé ce 8 février. Pourquoi a-t-il fallu attendre deux jours pour en avoir la confirmation ? Les médias veulent-ils faire oublier que ce spécialiste de tout premier plan de la recherche sur les virus et les vaccins était opposé aux vaccins anticovid ? Prix Nobel pour la découverte du virus du sida en 1983, directeur de l’institut Pasteur de 1991 à 1997, il considérait la vaccination anticovid comme « une faute médicale ».

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