Le gouvernement chinois montre ce qu’on peut faire des passes sanitaires numériques combinés à des tests et des vaccinations comme conditions d'accès aux bâtiments et aux transports. Quiconque affiche un comportement insoumis, par exemple en participant à des manifestations, verra simplement son état de santé défini comme « dangereux ». De telles procédures ne nous sont plus complètement étrangères. Et le laissez-passer sanitaire numérique est en voie de devenir un instrument permanent dans l'UE.

"Les entreprises de l’agroalimentaire, de l’énergie et de la pharmacie sont dans la ligne de mire de l’ONG, qui propose une taxation exceptionnelle sur les bénéfices de la pandémie."

Retour sur une mesure gouvernementale sans précédent dans le « monde libre » en février 2022 : les opposants au gouvernement canadien et à son premier ministre ont vu, du jour au lendemain et sans aucun procès, leurs comptes bancaires suspendus et leurs cartes de crédit annulées.

Alors que les regards sont attirés vers le conflit ukrainien, l’OMS rédige en ce moment un traité mondial pour « mieux gérer » les futures pandémies ^[1]. Un traité contraignant pour les États signataires ? Qui imposerait par exemple la vaccination obligatoire ? Que sait-on du futur traité ? La lecture des textes préparatoires fait froid dans le dos.

Dans le livre du journaliste allemand Paul Schreyer, « Chronique d’une crise annoncée » ^[1], on apprend que, depuis 25 ans, ont eu lieu des « exercices » simulant des attaques bioterroristes ou des pandémies.