Chaque année à cette période, des images de visages monstrueux, de bave, de sang et de regards méchants remplissent notre espace public et, du coup, nos psychés.
L’année en Occident se rythme de fêtes autrefois religieuses (voire spirituelles) devenues hautement commercialisées : Noël en hiver, Pâques au printemps et Halloween en automne.
Peu à peu, ces fêtes se sont vidées de leur sens collectif, spirituel et symbolique pour ne rester que des opportunités très lucratives qui nous entretiennent dans des habitudes consuméristes sans nous enrichir sur d’autres plans.