Quelques pensées et beaucoup d’incompréhensions...
On comprendra la tentation de certains états de prolonger cette mesure, limitant la contestation, les manifestations, permettant de tenir bien sage toute une population.
Quelques pensées et beaucoup d’incompréhensions...
On comprendra la tentation de certains états de prolonger cette mesure, limitant la contestation, les manifestations, permettant de tenir bien sage toute une population.
L’imagination au service de l’absurde…
Autant au mois de mars 2020, face à un virus dont on ne connaissait pas le potentiel meurtrier, dans la panique, face à des projections apocalyptiques, on peut comprendre la mise en place de cette mesure, comme ultime solution de secours, comme dernier recours… autant comment peut-être en faire une stratégie de santé, presque banale, quand on en a mesuré déjà une fois les conséquences pour les individus comme pour la nation ?
Une mesure moyenâgeuse face à un virus inconnu
Bien que discutables aujourd’hui, les critères (variables) de mesure de dangerosité du virus étant alarmants en mars, et ce virus étant alors inconnu, un inédit confinement est décidé par les autorités qui n’ont pas trouvé d’autre solution. Dans l’urgence, cette mesure moyenâgeuse est instaurée, comme on aurait pu le faire quand on ne connaissait ni les médicaments, ni les vaccins et que la saignée était pratiquée. Une poignée d’individus décide d’enfermer tout un pays. Dans la panique, on ne peut pas totalement leur en vouloir.
Du 11 mai au 20 juillet 2020, jusqu’à l’école en novembre…
On considère, que l’évolution du coronavirus se déroule ainsi : 5 à 7 jours d’incubation en moyenne, 7 à 10 jours d’aggravation, 14 jours entre la contamination et l’hospitalisation (3 à 4 semaines entre contamination et décès, après 18,5 jours de maladie en moyenne ; en moyenne 22 jours entre la contamination et la sortie de l’hôpital).
N’oublions pas le couvre-feu.
Tout comme le confinement, le couvre-feu est une mesure non pharmaceutique qui ne repose sur aucune justification scientifique. Comme nous l’avons vu dans la partie «confinement», les courbes avaient déjà commencé à diminuer dans de nombreuses régions au moment de la mise en place du couvre-feu de l’automne 2020. Difficile de savoir si cette mesure a réellement une influence positive. Et si nous étions en couvre-feu depuis plusieurs mois pour rien ?
Qui prend les décisions ? Les potentiels liens d’affinité ou conflits d’intérêts
Qu’il s’agisse du conseil de défense, du comité scientifique, ou des différents intervenants qui prennent la parole sur les plateaux de télévision… Dans une situation comme celle que l’on vit actuellement, en proie à détruire nos sociétés et mettant en danger nos droits fondamentaux, il est indispensable d’étudier avec une extrême vigilance les moindres liens possibles entre les personnes qui prennent les décisions et diffusent des discours, et les laboratoires pharmaceutiques ou autres acteurs politico-économiques qui pourraient en retirer un quelconque bénéfice. Ce travail n’est pas vraiment fait.