Illustration © BAM! Vick

Nous avons reçu l’autorisation du Professeur Balique, lanceur d’alerte français, de publier cette lettre ouverte aux élus français sur le projet de vaccination obligatoire. Cette lettre nous a semblé intéressante à verser au débat, qui n’a pas lieu dans les médias traditionnels, sur la vaccination totale de la population. Le Professeur Balique y souligne les nombreuses lacunes scientifiques concernant non seulement l’efficacité des « vaccins » anticovid, mais surtout leur innocuité. Celui-ci fait le point sur des données actuelles sur le terrain qui devraient interpeller les décideurs politiques et les autorités de santé. Elles sont actuellement passées sous silence dans les médias et BAM! tient à s’en faire l’écho afin de briser l’omerta sur les innombrables effets secondaires graves de l’expérimentation vaccinale anticovid à l’échelle de populations entières.

Je me pose beaucoup de questions sur ce que nous vivons depuis maintenant 18 mois. Tant de changements, tant de bouleversements, tant d’incompréhensions ont jalonné notre vie en si peu de temps.

©"RJ JR"

N’ayez pas peur ! 

Il n’est guère de commandement plus hérétique en ces temps de terreur étatique. 
Quoi de plus divin, dans la Création, et de plus beau en nous que nos dispositions à nous envisager, à nous rassembler, à faire société et à aimer ? Pour nous, les humains, l’amour est la plus grande force de l’univers.

© BAM! Vick

Je m’étonne que ça n’ait pas fait tilt dans la population, que son franc ne soit pas tombé ou qu’elle n’ait pas connecté les points. Alors je vais reposer les termes de la situation pour que ça soit plus clair pour tout le monde. Attention, c’est une devinette !

Nous reproduisons ci-après la lettre ouverte d’un médecin de terrain aux hommes politiques en charge de la gestion du pays, de ses régions et de ses partis. Il nous a semblé opportun de la publier ici et maintenant, car elle évoque les effets pervers de la stigmatisation des personnes non-vaccinées et de l’instauration d’un pass sanitaire (appelé Covid Safe Ticket en Belgique). Ce médecin évoque également les nombreux retours de terrain sur les effets secondaires sévères des vaccins anticovid, qui ne sont pas rapportés. Il propose enfin de faire marche arrière sur le pass sanitaire à cause de ses énormes dégâts collatéraux sur la société et de le remplacer par des tests rapides. Pour lui, il est clair que la vaccination ne doit pas servir à justifier une surveillance de masse. Plutôt qu’une campagne de vaccination massive à l’aveugle, il propose que la vaccination redevienne un acte médical, prévu par un médecin traitant après évaluation minutieuse du rapport bénéfice/risque.

© BAM! Vick

Vie Normale, le retour ?

J’ai encore un petit message à faire passer à notre Premier ministre, mais il est valable pour toute la clique dirigeante, et même dans les autres pays, puisqu’ils ne font que répéter la même chose les uns et les autres.

Le « vaccin », ça commence à bien faire !

Là, les gars, vous avez dépassé les bornes ! Non seulement notre Premier ministre ne fait que répéter comme un perroquet le discours mondial de « l’épidémie de non-vaccinés », mais il se permet de nous faire la morale, comme à des gosses de cinq ans. Je plains les siens.

Voici une déclaration de Monsieur Rudi Vervoort, Ministre-Président de la Région de Bruxelles-Capitale(1), qui assurément fera mouche. Interrogé sur le nombre « préoccupant » de Bruxellois toujours réfractaires à la vaccination – qui n’est PAS obligatoire, rappelons-le bien pour nous en souvenir – et alors que le journaliste lui tendait une perche à peine tendancieuse, Monsieur Vervoort n’a pas hésité à la saisir, pour affirmer qu’à un moment, lorsqu’on a suffisamment patienté au bord de la rivière, il faut bien « forcer le cheval à boire ».

"Je ne connais pas la peur, car la peur tue l'esprit. La peur est la petite mort qui conduit à l'oblitération totale. J'affronterai ma peur. Je lui permettrai de passer sur moi, au travers de moi. Et lorsqu'elle sera passée, je tournerai mon oeil intérieur sur son chemin. Et là où elle sera passée, il n'y aura plus rien. Rien que moi."

Dune, Frank Herbert