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Le « vaccin », ça commence à bien faire !

Là, les gars, vous avez dépassé les bornes ! Non seulement notre Premier ministre ne fait que répéter comme un perroquet le discours mondial de « l’épidémie de non-vaccinés », mais il se permet de nous faire la morale, comme à des gosses de cinq ans. Je plains les siens.

Ça suffit de se faire traiter de débile, d’attardé mental ou d’égoïste par des gens qui nous mentent et font connerie sur connerie depuis le début ! J’en ai marre d’être leur bouc émissaire. Alors, écoute-moi bien, toi qui crois que ne pas se faire vacciner contre le covid est irresponsable.

Dangereux et inefficace

Je ne veux pas qu’on m’inocule un poison, c’est tout. Car c’est un acte irréversible. S’il y a une chance sur un million pour que j’en meure ou que j’en reste handicapé à vie, eh bien, je te le laisse prendre, ce risque. Mais moi, je ne risque pas ma vie pour ça.

Je n’ai pas peur de ton épouvantail, parce que je ne suis pas dans la catégorie des gens vulnérables et, statistiquement, je risque tout au plus au plus une grosse grippe, OK ? Et je suis suffisamment informé pour savoir qu’en cas de nécecessité, il existe des traitements qui ont fait leurs preuves même s’ils sont réprouvés par les autorités sanitaires.

Je suis très bien informé, contrairement à ce que tu crois. Ton « vaccin » concocté à la va-vite par des labos à qui on a sucé les doigts de pieds pour qu’ils fassent un miracle, il ne protège ni de la contagion, ni de la transmission, ni de la maladie, ni de la mort.

Alors oui, j’ai « fait mon examen de conscience » depuis belle lurette et justement, je ne suis pas fou : entre deux maux, on choisit le moindre. À ton avis, pourquoi y a-t-il encore des personnes du milieu médical qui n’en veulent pas, malgré les horreurs qu’ils ont vécues au jour le jour ? Tu ne crois pas que si c’était vraiment une bonne solution, ils se seraient rués sur le vaccin ?

Arrête de prendre les gens pour des cons. Au contraire, nous sommes peut-être les seuls à avoir un peu de jugeote au point d’être prêts à nous battre pour ne pas nous faire piquer.

Et ne crois pas que tu as gagné la bataille parce que tu affiches fièrement un gros pourcentage de ta population vaccinée. Parce qu’une proportion non négligeable ne voulait pas de ce vaccin. Tu leur as fait du chantage et ça a fonctionné avec eux.

Mais c’est une victoire à la Pyrrhus, parce que tu as révélé que tu étais prêt à utiliser la fourberie, la manipulation, la duplicité, le mensonge et la coercition pour arriver à tes fins. Tu t’es totalement discrédité.

Le peu de crédit que tu avais encore au sein de la population s’est envolé. Là, tu viens de griller tes dernières cartouches auprès du peuple, avec le pass sanitaire, qui instaure un apartheid officiel au sein de la population.

Aujourd’hui, on n’est plus au Moyen Âge : l’information circule à la vitesse de la lumière. Si la télé et les journaux corrompus sont à ta botte, tu ne contrôles rien du tout en dehors. Et même si tu mets le paquet pour censurer la circulation de l’information, elle passe, elle percole. Condamne les ascenseurs, la vérité prendra l’escalier !

Trop is te veel

Le voilà, mon « examen de conscience » que tu me réclames tant. Ce « vaccin », qui n’en est pas un, n’est qu’une de tes armes pour nous asservir, nous briser. Après tout ce que tu nous as fait subir depuis 19 mois, trop, c’est trop. C’est le mensonge de trop, pour beaucoup d’entre nous. Nous sommes bien plus éclairés que tu ne le crois.

Ton « vaccin », si on ne s’est pas fait vacciner jusqu’ici, c’est qu’on n’en veut pas, tu piges ? Trop dangereux, pas efficace. Que fais-tu des effets secondaires graves que tu qualifies du bout des lèvres de « rares » alors qu’ils n’ont jamais été aussi nombreux dans l’histoire de la vaccination ? Non seulement tu fais tout pour qu’ils ne soient pas rapportés, mais en plus, tu les dénigres (« rien n’est prouvé »). Mais la charge de la preuve, elle te revient ! Oui, c’est à toi de me prouver que les très nombreux effets secondaires graves rapportés ne sont pas le fait des « vaccins ». Où sont les autopsies des morts suspectes ?

Le « principe de précaution », que tu invoques pour justifier tes mesures inhumaines, tu l’as même renversé : c’est « d’abord ne pas nuire », en fait. Tu as empêché les médecins de soigner les gens, tu continues à réduire les lits dans les hôpitaux, tu refuses d’évaluer l’efficacité des mesures que tu as prises depuis 19 mois. Tu dénigres toutes les voix scientifiques qui te disent que tu fais fausse route.

Et tu me traites comme un enfant de cinq ans, qui n’a rien compris ? Moi, je lis dans ton jeu. Je te traite, moi, de pervers narcissique, de sadique, parce que tu n’as aucune compassion pour les êtres humains que tu as brisés et que tu continues à briser. Ne t’étonne pas de leur réaction, car nous n’avons plus grand-chose à perdre, lorsqu’on a compris que notre monde d’avant n’est plus qu’un souvenir.

Alors écoute-moi bien, maintenant : arrête de nous rendre la vie difficile, parce qu’à un moment, les gens n’en pourront plus. Fais comme si nous n’existions pas et débrouille-toi avec ceux qui te croient encore, tu en as encore assez pour continuer à t’amuser, on ne peut plus rien pour eux. Mais laisse-nous tranquilles.

Et, au fait, ne touche pas à mes enfants, parce que là, je vais vraiment me mettre en colère !

 

Par Philippe Baron


Les opinions exprimées dans cet article n’engagent que la responsabilité de l’auteur et ne représentent pas nécessairement celle de BAM!

Source photo : 
Image recadrée à partir de l'image originale de littlewolf1989 sur AdobeStock

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Philippe Baron

Sidéré comme tout le monde dès les premières mesures de gestion de crise en mars 2020, il s'est vite aperçu de la tournure délirante que prenaient les choses lorsque les décideurs politiques se sont rapidement affranchis de la réalité scientifique et des conséquences sociales de leurs décisions. Il a alors mis sa plume et son temps au service de l'information non-officielle sur cette crise pour apporter sa pierre à l'édifice du nouveau monde qu'il aimerait voir naître.