"LEYDE, Pays-Bas — De récentes études tirent la sonnette d’alarme : les millions de masques faciaux utilisés pour se protéger du coronavirus et jetés dans la nature seraient une bombe à retardement. Malheureusement, un rapport commandité par les Pays-Bas établit que la déflagration a déjà eu lieu en ce qui concerne la vie sauvage. Une équipe de biologistes a mis au jour les dommages que les protections jetables « anti-covid » causent sur la population animale à l’échelle mondiale."

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