Les effets secondaires suspectés des vaccins anticovid pourraient atteindre – rien qu’en Allemagne – le nombre de 2,5 à 3 millions, soit dix fois plus qu’annoncés officiellement. La mutualité allemande BKK-ProVita a en effet constaté une explosion du nombre de traitement des effets secondaires post-vaccinaux, bien plus important que celui du chiffre des déclarations à la pharmacovigilance. La vérité sur les effets secondaires va-t-elle enfin être révélée par des données incontestables fondées sur une réalité mesurable ? Apparemment, cela ne suffit pas, pour le gouvernement.

Les effets secondaires suspectés des vaccins anticovid pourraient atteindre – rien qu’en Allemagne – le nombre de 2,5 à 3 millions, soit dix fois plus qu’annoncés officiellement. La mutualité allemande BKK-ProVita a en effet constaté une explosion du nombre de traitement des effets secondaires post-vaccinaux, bien plus important que celui du chiffre des déclarations à la pharmacovigilance. La vérité sur les effets secondaires va-t-elle enfin être révélée par des données incontestables fondées sur une réalité mesurable ? Apparemment, cela ne suffit pas, pour le gouvernement.

“Entre le 5 avril et le 26 décembre, le National Health Security Office (NHSO) de Thaïlande a versé environ 927 millions de bahts (soit plus de 25 millions d’euros) d'aide financière à 8 470 personnes qui ont subi des effets secondaires indésirables après avoir été vaccinées contre le COVID-19“

Après l’audition des trente deux experts désignés par la Commission Santé, le débat sur l’obligation vaccinale se poursuit au Parlement. Si les circonstances compromettent l’entrée en vigueur d’une obligation vaccinale à court terme, il est possible que certains politiques tentent de se donner les moyens de rendre obligatoire un vaccin “en cas d’urgence”. La plupart des experts et des politiques admettent maintenant que l’obligation vaccinale arrive trop tard… ce qui peut laisser sous-entendre qu’il faudrait imposer une vaccination beaucoup plus rapidement à l’avenir. « Le débat actuel, c’est essentiellement sur l’avenir qu’il porte », reconnaissait d’ailleurs Catherine Fonck[1].

Contrairement à de nombreux pays qui ont choisi la levée des mesures sanitaires, le Premier ministre canadien Justin Trudeau a décidé d’activer la loi sur les mesures d’urgence pour réprimer les manifestations pacifiques [1], une première dans l'histoire du Canada. Cette loi permet notamment aux institutions financières de bloquer les comptes bancaires des contrevenants. Le gouvernement prétend répondre de façon proportionnée à une menace grave pour la sécurité du Canada. De nombreuses voix s’interrogent toutefois sur son bien-fondé.

“Une lettre signée par plus de 130 professionnels de la santé britanniques a accusé le Premier ministre britannique Boris Johnson et d’autres responsables gouvernementaux d’avoir causé « un préjudice massif, permanent et inutile » au pays.“