Le Climat, c'est  la Santé!

Liberté & démocratie
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Après une tentative désastreuse de gérer la “crise COVID” et son échec à désigner son origine, on aurait pu croire que l’OMS aurait fait preuve de plus de modestie, mais il n’en est rien.
En manque de crise susceptible de légitimer son emprise, l’OMS a trouvé un nouveau prétexte: Le Climat!
BAM! vous décrit les enjeux d’une tentative de prise de pouvoir mondial.

Depuis “l’Appel à une action d’urgence pour limiter l’augmentation de la température mondiale, restaurer la biodiversité et protéger la santé[1], publié le 4 septembre 2021 dans les pages du Lancet, et le nouveau “narratif” publié ce mois‑ci avec le soutien de la Fondation Rockefeller (dès sa fondation en 1913, la Fondation Rockefeller[2] est directement à l’origine de l’ordre sanitaire international avec l’Organisation d’Hygiène à la SDN[3]) : “Act on Climate – Our Lives Depend on It. A shared narrative for people and organizations urging joint action on climate and health[4] prépare les esprits à faire du climat la probable septième Urgence de Santé Publique de Portée Internationale (USPPI), auparavant réservée aux pandémies : coronavirus (2020), Ebola (2018 et 2014), Zyka (2016), poliomyélite (2014) et H1N1 (2009). 

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Tels sont les critères d’une USPPI: une situation grave, soudaine, inhabituelle ou inattendue, avec des implications sanitaires dépassant les frontières, et qui nécessite une action internationale immédiate[5]. L’urgence climatique coche toutes les cases pour le Parlement européen qui la déclare en 2019[6], ou pour l’Archipel du Vanuatu en 2022[7], sauf que la mer ne monte pas assez vite et le plan d’évacuation[8] d’urgence négocié avec l’Australie tombe à l’eau[9].

Qu’à cela ne tienne, la situation est pire (sic) que toutes les urgences précédentes[10] ! En outre, dès avril 2020, l’OMS et de nombreux commentateurs n’ont cessé d’établir des parallèles entre la crise climatique et ladite pandémie de coronavirus[11], comme en atteste le nom du partenariat que la Fondation Rockefeller a noué avec l’OMS : “Partenariat contre les pandémies globales à l’ère du changement climatique”… tout un programme.

Et ça tombe vraiment bien car aucune maladie ne semble plus pouvoir être étrangère aux conséquences directes de nos émissions de CO2[12], un peu comme si toutes les affections respiratoires étaient étiquetées “COVID”, mais cette fois‑ci, en “climat”. La boucle est bouclée. La santé de tous dépend de tous. Les animaux vecteurs de maladies se déplacent, les vagues de chaleur, incendies, inondations impactent l’eau, le cheptel et les cultures et donc directement la santé humaine. Ce refrain est repris en chœur par les acteurs de la gouvernance mondiale, l’OMS[13],[14], l’ONU[15], le Forum Économique Mondial[16], les lobbies et les ONG écologistes. Ces dernières sont considérées, à tort, comme l’émanation d’une volonté populaire, alors qu’il ne s’agit ni plus ni moins qu’un racket aux bons sentiments financé largement par les fortunés “sauveurs de l’humanité” comme Rockefeller, Getty, Gates ou Soros pour n’en citer que quelques uns[17][18], plutôt que par les contributions des petits donateurs.

La lutte contre le réchauffement climatique anthropique (RCA) n’est plus une menace pour les générations futures mais passe pour la réalité aux conséquences directes sur la santé des écosystèmes (sic). Les populations les plus défavorisées en sont les premières victimes et nous ne pouvons laisser personne de côté (Leave no one behind).[19] À votre bon cœur messieurs‑dames, si ce n’est pas pour vous, faites‑le au moins pour les autres… Cela ne vous rappelle rien? La couverture de santé universelle est d’ailleurs inscrite au programme, avec identité numérique à la clé. C’est pour votre sécurité et si l’on s’y met tous, tout se passera bien, d’ailleurs on s’occupe de tout, vous avez déjà bien assez à faire avec l’inflation, le terrorisme, le retour de la guerre froide, les punaises de lit (quand ce ne sont pas les effets indésirables[20] des injections et leur composition…).

Les dernières marches avant le Sommet 

1. La COP28 : La Santé d’abord[21]

La prochaine COP débute ce 30 novembre. Elle est consacrée cette fois à l’avancée du plan d’action et mettra l’accent sur la santé climatique. C’est le moment choisi par l’OMS pour affirmer ses prérogatives et d’en faire une COP Santé. Quelques jours avant l’ouverture de la 28e conférence des parties, l’OMS a publié son cadre opérationnel pour construire des systèmes de santé résilients au changement climatique et à faibles émissions de carbone[22] concomitamment avec un épais rapport du Lancet en faveur d’une réponse climatique centrée sur la santé[23] en guise de caution scientifique.  

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Risques climatiques pour la santé et les systèmes de santé (source : OMS nov. 2023)

2. Recommandation du Cadre Sendai pour la COP28[24]

Le processus de Sendai concerne la réduction des risques de catastrophes, avec cinq priorités:

  • Comprendre les risques de catastrophes, tout enregistrer, tout voir, tout modéliser ;
  • Renforcer la gouvernance des risques de catastrophes pour mieux les gérer ;
  • Intervenir en temps réel sur tous les paramètres opérables ;
  • Investir dans la réduction des risques de catastrophes aux fins de la résilience ;
  • Renforcer l’état de préparation aux catastrophes pour intervenir de manière efficace et pour «mieux reconstruire» (Build Back Better) durant la phase de relèvement, de remise en état et de reconstruction.

Les négociations pourraient rendre ce cadre d’action mobilisable même en l’absence de catastrophe, et donc par prévention d’un désastre majeur, comme pourrait en être accusé à tout hasard le dioxyde de carbone, ce fertilisant vital et source unique d’oxygène issu de la photosynthèse. Un bilan carbone imposé à tous les agents économiques permettrait une quantification rigoureuse et le contrôle de ces émissions.

Les discussions se poursuivent à Dubaï jusqu’au 12 décembre.

3. Nouvelle “Convention et Accords de l’OMS” (CA+) prévu le 24 mai 2024. « Santé pour la paix et paix pour la santé »

Le premier Règlement Sanitaire International (RSI) a été établi en 1951. Révisé en 1969, 1981 et 2005, le travail d’une nouvelle mouture a débuté sur le thème « Santé pour la paix et paix pour la santé » qui tire les enseignements de la période COVID.

Les négociations doivent aboutir à un nouveau traité “pandémies” et une réforme du  Règlement Sanitaire International (RSI) établi en 2005. L’OMS aspire à des pouvoirs étendus et coercitifs pour remplir les missions qu’elle s’est données. Sauver la paix et le climat sont ses nouveaux défis.

Le projet de texte[25] et amendements[26] donnent à l'OMS le pouvoir de s'auto‑saisir dès lors que sont concernés les sujets suivants: la santé animale, la protection des écosystèmes, la santé humaine (le triptyque “One Health”) et le niveau de CO2. Et le discours climatique catastrophiste officiel couvre d’une manière très opportune ces quatre sujets.

À cela s’ajoute un financement permanent, le droit de qualifier de pandémie n’importe quelle épidémie, le droit de procéder à des confinements, d’activer le passeport vaccinal, d’accroître la surveillance des populations, de censurer, d’autoriser des traitements (d’en discriminer d’autres), de rendre obligatoires et d’organiser des vaccinations éventuelles, de sélectionner les fabricants autorisés, d’imposer une gestion centralisée éclipsant l’autonomie des États membres, souveraineté des États aussi éclipsée par la signature possible d’une partie prenante supérieure (par la définition extensive de partie par le nouveau traité). Ainsi, dans l’éventualité où l’Union européenne serait partie signataire, la Commission européenne, de plus en plus autoritaire (cf. la prolongation de 10 ans des glyphosates) pourrait faire appliquer le nouveau traité aux États membres.

L’opposition à ces développements regroupe les pays africains, l’Iran, la Malaisie, la Russie et le Brésil qui ne voient pas d’un bon œil le tournant unilatéral des hautes instances de l’OMS. Tout récemment le nouveau Premier ministre slovaque s’est formellement opposé à ce nouveau traité, l’accusant de servir les intérêts de l’industrie pharmaceutique[27].  Nous saurons après la prochaine réunion de l'Organe de Négociation Intergouvernemental (INB) qui se déroule du 4 au 6 décembre s'il y a un "consensus mondial” suffisant pour la ratification aux deux tiers, ce dont il est encore raisonnable de douter, quoique beaucoup d’efforts ont dû être fournis pour huiler les rouages de ces négociations.

Outre l’opposition de certains pays, des citoyens et des organisations se mobilisent. Alertée par la disparition des dernières versions du traité de la "pleine considération pour la dignité, les droits de l'homme et les libertés fondamentales des personnes", CitizenGO, a pu rassembler non moins de 333.500 signatures d’opposants au CA+ de l’OMS en 8 jours à peine.[28] 

Senta Depuydt (Children’s Health Defense) suit ce dossier de très près. Elle appelle à une sortie de l’OMS. Une présentation détaillée qui vaut le détour est disponible sur son site Substack[29].

4. Préparation du Sommet pour le Futur en septembre 2024[30] 
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Un autre processus pourrait également aboutir à une prise de contrôle centralisée au nom d’une urgence planétaire.[31] 

La désignation de menaces systémiques globales s’est toujours accompagnée d’appels à une réponse internationale où les antagonismes et les souverainetés étatiques doivent s’effacer au nom du bien commun et partant, nous conduire à une gouvernance globale : notre agenda commun!

En 2012, dans la foulée de Rio+20, trente deux scientifiques signent une tribune dans Science : L’urgence planétaire appelle une gestion globale et une gouvernance mondiale. Elle passe par la réforme en profondeur des institutions nationales et internationales[32].

Pour faciliter cette transformation et éviter la catastrophe, la Global Challenges Foundation est fondée en 2013. Elle publie un rapport[33] qui liste douze menaces fatales pour l’humanité et appelle à une coopération renforcée. Elle fonde un prix de 5 millions de dollars pour l’élaboration d’un plan pour une O.N.U. 2.0. : “The New Shape Prize is the first ever attempt to invite the whole world to come up with the best possible innovative ideas of how we can find a New World Order”, Johan Rockström, Davos 2018.


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En 2015, Futur Earth[34] établit les bases de l’architecture de cette nouvelle gouvernance globale. La même année, la Commission on Global Security, Justice & Governance produit un rapport[35] sur la crise de la gouvernance mondiale. Ses recommandations pour relever les défis majeurs (défaillance des États, prévention des conflits, réchauffement climatique, sécurité de la cyber économie…) passe par un dialogue global et, ô surprise, une réforme des institutions internationales.  

Quelques mois plus tard, l'Assemblée Générale des Nations Unies (AGNU) dresse l’Agenda 2030 et les 17 Objectifs du Développement Durable (ODD) dont la rosette arc‑en‑ciel orne la boutonnière des Young Global Leaders. L’année 2015 est couronnée par les Accords de Paris de la COP21 et le cap du Net Zero pour 2050 grâce aux marchés d’échanges du carbone, le nouvel étalon de la consommation limitée par votre Pass Carbone.


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En novembre 2018, Emmanuel Macron préside la fondation du Forum de Paris sur la Paix[36]. Les lauréats du New Shape Prize y présentent leurs travaux. La liste des fondateurs et partenaires laisse rêveur : UNESCO, U.E., FMI, World Bank, Rockefeller Foundation, Bill & Melinda Gates Foundation, Carnegie Foundation, Open Society, Microsoft, Amazon, TikTok… Ses travaux sont focalisés sur l’amélioration de... la gouvernance mondiale.

En 2019, l’ONU appelle un plan d’action sur 10 ans pour répondre aux ODD.

En 2020, l’OMS déclare l’USPPI COVID et dans la foulée Klaus Schwab, du Forum Économique Mondial, publie son livre où il appelle un Grand Reset pour lequel le COVID présente “une fenêtre d'opportunité que nous ne pouvons pas rater”[37], une répétition générale donc?

En réponse, les 16 et 17 septembre 2020, le Forum de la Gouvernance Mondiale se tient en virtuel, COVID oblige, avec ce mot d’ordre : "Dessiner une feuille de route pour le futur que nous voulons, pour les Nations Unies dont nous avons besoin”. À cette occasion est constituée une Commission sur la Gouvernance Climatique, soutenue entre autres par la Fondation Rockefeller[38], et chargée d’émettre des suggestions de réformes au système global. Ces commissionnaires se voient aussi confier la tâche d’émettre des propositions pour concrétiser la gouvernance mondiale au Sommet pour le Futur. En cas de déclaration d'état d'urgence, ils suggèrent la mise en œuvre d'une plateforme dédiée pour répondre de manière concertée à un choc global.

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“Six limites planétaires sur neuf ont été dépassées”[39].

Lors de l’AGNU de septembre dernier, la Commission a produit un rapport pour gouverner l’urgence planétaire[40] et déclarer que 6 limites planétaires sur 9 qui ont été scientifiquement identifiées sont dépassées (les neufs limites planétaires sont le changement climatique, l’érosion de la biodiversité, la perturbation des cycles biogéochimiques de l’azote et du phosphore, les changements d'utilisation des sols, l’acidification des océans, l’utilisation mondiale de l’eau, l’appauvrissement de la couche d'ozone, l'introduction d’entités nouvelles dans l’environnement - pollution chimique - et l'augmentation des aérosols dans l’atmosphère)[41] ! Elle déplore tant l’absence d’initiative au sommet que le manque de réactivité de la société civile qu’elle appelle à se mobiliser pour exiger les évolutions nécessaires. Dès lors, elle recommande que l’AGNU déclare à l’occasion du Sommet pour le Futur une urgence planétaire et convoque une plateforme d’urgence pour coordonner une action concrète[42] : L’établissement d’un tableau de bord général pour surveiller les neuf limites planétaires, ses fonctions vitales, ses paramètres et tous nos faits et gestes en temps réel pour assister la gestion du système Terre. Un rapport intermédiaire sera présenté à la COP28.

L’U.L.B. organise une journée d’étude complète et une conférence en soirée sur le sujet des urgences planétaires ce mercredi 13 décembre[43].

 

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The Digital World Brain "Neural techniques that invalidate free will", Jacob Nordangård, octobre 2023[44]

Le plan est déjà prêt

A Big Plan for a Small Planet a été élaboré par la Global Commons Alliance portée par le Club de Rome, le Forum Économique Mondial, le Rockefeller Philanthropy Advisors, la Global Challenges Foundation parmi 70 autres organisations contrôlées par de riches donateurs. Il s’agit d'accélérer le changement de système pour préserver le bien commun (sic)... et voler toutes vos libertés. La formule est simple, une commission planétaire qui établit des objectifs basés sur la science, qui informe les instances qui déclenchent les changements systémiques idoines, lesquels sont évalués en temps réel grâce à l’internet des objets et des corps par la fée intelligence artificielle (sic)[45].

« The warming of the climate is no longer merely, or primarily, an environmental issue. It is an energy issue; a business issue; an investor issue; a moral issue; a security issue; an agricultural issue; a coastal issue; a religious issue; an urban issue; in short, a global issue that touches every conceivable facet of human existence. It is a matter of universal concern that cuts across party lines, religious affiliations, class divisions, and demographic distinctions. Therein lies our current opportunity.»

Annual report Rockefeller Brothers Fund 2005[46]

 

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Il faut prendre l’Agenda annoncé au sérieux. Pour empêcher les catastrophes qui nous menacent, il nous faudrait tout mesurer, tout contrôler, tout piloter. Le narratif nous emmène tout droit vers l’état d’urgence : limites planétaires, pandémies, climat et guerres, rien ne va plus. Depuis l’entrée en scène médiatique de Greta Thunberg et son intronisation[47] au World Economic Forum de Klaus Schwab, l’urgence climatique et sa litanie de catastrophes inondent les médias officiels. La société tout entière est appelée à entrer en transition comme on entre en religion[48]. Il ne s’agirait en fait que d'entériner un état de fait.

On nous répète inlassablement que les conséquences du réchauffement seront pires que celles du COVID[49]. Ce qu’il faut comprendre de cette phrase, c’est que les mesures que l’on s’apprête à prendre seront pires que celles de la précédente USPPI COVID. Progressivement, les droits humains s’effacent du cadre des négociations de la gouvernance des risques.

Les aspirations à une gouvernance mondiale ne sont pas des phénomènes récents, mais plutôt le résultat de décennies d'efforts orchestrés par des riches fanatiques désireux d’accroître leur contrôle sur les populations. Ces derniers engrangent patiemment les bénéfices d’une emprise croissante sur les institutions internationales tout en imprégnant tous les pans de la société de leur idéologie. Leur influence est majeure dans le financement des universités et des fonds de recherche. Cela façonne ainsi le récit propagé par les médias sous leur influence et leur permet, à coup d’ingénierie sociale, d'imposer leur vision d’un monde angoissant et au bord de l’effondrement. Cette soif de contrôle pourrait bien atteindre un tournant décisif avec les développements de la cybernétique où la biologie fusionne avec le monde digital dans un grand tout hyperconnecté. L'identité électronique[50], la géolocalisation, le bilan carbone convergent vers l'établissement d'un modèle intrusif et liberticide, omniscient quant à chacun de nos faits et gestes. Ce cauchemar totalitaire imposera une biopolitique au nom du bien commun. Toutefois, derrière cette rhétorique altruiste se profile une menace réelle pour l'humanité. Même si on assiste à une forte montée du scepticisme climatique[51] et qu'il reste encore quelques étapes importantes à franchir avant l’adoption d’un telle cadre supranational, il ne faudrait pas négliger les moyens considérables et la détermination implacable des intérêts qui le soutiennent, que ce soit au nom d’une menace réelle, imaginaire ou fabriquée.

« Si vous permettez aux politiciens de violer vos droits en temps de crise, ils créeront des crises pour violer vos droits » Samuel Stemmer.

Réginald de Potesta de Waleffe
Pour BAM!

[1] Time to treat the climate and nature crisis as one indivisible global health emergency : Call for emergency action to limit global temperature increases, restore biodiversity, and protect health - The Lancet

[2] Jacob Nordangård. Les Rockefeller, Les Maîtres du jeu. Editions Jean‑Cyrille Godefroy, 2023.

[3] L’Organisation d’hygiène et la fondation Rockefeller aux origines d’un ordre sanitaire international (1923‑1939) De l'Organisation d'hygiène de la SDN à l'OMS | Cairn.info 

[4] Act on Climate – Our Lives Depend on It A shared narrative for people and organizations urging joint action on climate and health November 2023. Climate x Health is co‑convened by Wellcome Trust, The Rockefeller Foundation, Global Climate and Health Alliance, and Amref Health Africa

[5] Que sont le Règlement sanitaire international et les Comités d’urgence ? 

[6] Le Parlement européen déclare l’urgence climatique | Actualité 

[7] Un pays déclare l’état d’urgence climatique - Le Soir 

[8] Le Figaro du 11 novembre 2023 : L'Australie offre l'asile climatique aux citoyens de Tuvalu, menacés par la montée des eaux 

[9] Le Figaro du 23 novembre 2023 : Changement climatique: le naufrage de l’archipel des Tuvalu n'est pas à l'ordre du jour 

[10] Climate emergency is the biggest health crisis of our time – bigger than Covid | Pascal Soriot | The Guardian 

[11] Coronavirus disease (COVID‑19): Climate change 

[12] Effets du réchauffement climatique sur la santé humaine — Wikipédia

[13] Leaders spotlight the critical intersection between health and climate ahead of COP‑28 first‑ever Health Day

[14] Importance inédite accordée à la santé publique mondiale à l’Assemblée générale des Nations Unies 

[15] Résolution 77/165, Sauvegarde du climat mondial pour les générations présentes et futures, 14 décembre 2022

[16]Climate justice is also a local health issue. These 4 grassroots solutions are tackling both

[17]  BFM Business, Valentin Grille, Le 04 novembre 2022, Getty, Rockefeller: quand les financiers soutiennent des activistes écologistes 

[18]  Fox News, 23 novembre 2023 : Dark money fund poured millions dollars eco activist groups blocking highways destroying famous art Dark money fund poured millions of dollars into eco activist groups blocking highways, destroying famous art 

[19] À propos du Programme de développement durable à l’horizon 2030 | OHCHR.

[20] BAM! News - Les effets indésirables du vaccin ARN par Pr. Rentier 

[21] COP28 UAE |Climate Health First on the Agenda 

[22] Operational framework for building climate resilient and low carbon health systems, novembre 2023, OMS

[23] The 2023 report of the Lancet Countdown on health and climate change: the imperative for a health‑centred response in a world facing irreversible harms  The Lancet Countdown on health and climate change 

[24] Conférence mondiale des Nations Unies sur la réduction des risques de catastrophe Climate action and disaster risk reduction | UNDRR 
Déclaration de Sendai DECLARATION de SENDAI des GOUVERNEMENTS LOCAUX et INFRA‑NATIONAUX “ASSURER UNE RESILIENCE RENFORCEE AUX DESASTRES DANS UN MON 

[25] Texte de la convention, de l’accord ou d’un autre instrument international de l’OMS sur la prévention, la préparation et la riposte face aux pandémies (« CA+ de l’OMS ») rédigé par le Bureau, 2 juin 2023

[26] Les gouvernements progressent vers l’adoption d’amendements au Règlement sanitaire international (2005) 

[27] Slovakia will not be entering into any international pandemic agreements with WHO, Prime Minister says BY RHODA WILSON ON NOVEMBER 25, 2023 https://expose‑news.com/2023/11/25/slovakia‑will‑not‑be‑entering‑into/ 

[28] Appel urgent à l'action : bloquez le Traité sur les pandémies MAINTENANT | CitizenGO 

[29] La lettre de Senta 

[30] International Institute for Sustainable Development: UNGA Decides on Elements for “A Pact for the Future” | News | SDG Knowledge Hub | IISD
Summit of the Future website - EN | United Nations 

[31] Summit of the Future: What Would it Deliver? 

[32] Navigating the Anthropocene: Improving Earth System Governance | Science 

[33]  Global Challenges 

[34] Futur Earth Future Earth harnesses the experience and reach of thousands of scientists and innovators from across the globe. This global community is spread over a series of networks and governing and advisory bodies. 

[35] Confronting the Crisis of Global Gouvernance, juin 2015 CONFRONTING THE CRISIS OF GLOBAL GOVERNANCE 

[36] Forum de Paris sur la paix — Wikipédia 

[37] La «grande réinitialisation» : le Forum de Davos lance le monde d'après 

[38] The Climate Governance Commission 

[39] La 6e limite planétaire est (officiellement) dépassée 

[40] Governing our Planetary Emergency CGC Statement UNGA 

[41] Limites planétaires — Wikipédia 

[42] PLANETARY EMERGENCY PLAN Securing a New Deal for People, Nature and Climate

[43] Limites planétaires et enjeux de dépassement: journée d'étude - Actualités de l'ULB 

[44] Jacob Nordangård, The Digital World Brain "Neural techniques that invalidate free will”. Septembre 2023

[45] Jacob Nordangård – A Planetary Emergency 

[46]  « Le réchauffement climatique n’est plus simplement, ni avant tout, un problème environnemental. C'est une question d'énergie; un problème commercial ; un problème d'investisseur ; une question morale; un problème de sécurité ; une question agricole; un problème côtier ; une question religieuse; une problématique urbaine ; en bref, un problème mondial qui touche toutes les facettes imaginables de l’existence humaine. Il s’agit d’une question d’intérêt universel qui transcende les clivages politiques, les affiliations religieuses, les divisions de classe et les distinctions démographiques. C'est là que réside notre opportunité actuelle » Rapport annuel de la fondation Rockefeller Brothers Fund, 2005: global warming 

[47] La fiche de Greta au WEF : Greta Thunberg - Agenda Contributor | World Economic Forum 

[48] Tribune BAM, Un climat religieux, septembre 2023

[49] Mais quelles seraient les conséquences d’une baisse d’un, deux voire trois degrés de la planète ? Quelles seraient les conséquences d’une diminution du CO2 dans l’atmosphère pour la photosynthèse et la chaîne alimentaire ? On ne se pose plus ces questions. Elles sont pourtant essentielles.

[50] Projet européen d’identité numérique: Un danger pour la démocratie ? Projet européen d’identité numérique: Un danger pour la démocratie? 

[51] Tom Standage’s ten trends to watch in 2024