Ce lundi 6 janvier 2025, à Liège, se tenait une séance juridique capitale. Portée par des collectifs citoyens, des victimes et deux pays européens, la plainte pour "manque de transparence dans la gestion des achats de vaccins" cible Ursula von der Leyen et Albert Bourla.
Pourtant, malgré l'ampleur de l'affaire, le silence médiatique reste assourdissant, laissant planer le doute sur une connivence inquiétante. Le verdict attendu le 20 janvier pourrait briser cette omerta.
Petit résumé de l’affaire
- Plainte portée par un lobbyiste liégeois pour « manque de transparence dans la gestion d’achats des vaccins », c’est un fait de société
- Il a été rejoint dans sa plainte par un millier de personnes réunies par les collectifs Notre Bon Droit d’Isabelle Duchâteau, de personnel navigant, Florian Philippot ainsi que des victimes d’effets secondaires et des familles de victimes du vaccin, cela devient une vague
- Si on ajoute à cela deux pays, la Hongrie et la Pologne, membres de la Communauté européenne, c’est une tempête
- Un tsunami qui devrait transformer Bourla et Ursula en vulgaires fétus de paille
Franchement, la messe devrait être dite… mais il manque chaque fois un petit truc : les hosties, l’abbé machin, le vin blanc ou un enfant de chœur ! En clair, les avocats d’Ursula et Pfizer essaient de jouer la montre. Mais le camp adverse obtient chaque fois raison grâce à l’opiniâtreté de Maître Diane Protat. Le jugement devrait être dévoilé le 20 janvier, qui ne sera décidément pas un jour comme les autres.
L’intrigue médiatique
À part quelques médias alternatifs, le procès s’est tenu dans un silence médiatique assourdissant. Il laisse supposer soit que l’affaire est trop légère, fantaisiste et ridicule pour être suivie, soit que la mainmise sur les rédactions est telle que le silence est leur seule option.
Nous crions tous ensemble : What the fuck !!!
Un jour après, deux médias ont fait un copier‑coller du bout du clavier d’un communiqué de l’agence Belga. Aucune analyse. Aucun traitement journalistique.. Pas d’interview. Une prudence extrême. Pas d’annonce du jour du jugement. Cette lâcheté est oppressante. Le doute sur leur complicité s’éclaircit. Par contre, le clan Baldan/Protat & cie a encore une série de flèches dans son carquois. L’une d’elles pourrait avoir pour cible ce comportement antidémocratique de nos médias subventionnés.
KAro et Vinciane ont tenté d’arracher quelques mots à l’avocat d’Ursula. La vidéo vaut son pesant de cacahuètes. Maître Masset a botté en touche. Mais nous ne lâchons pas l’affaire. Nous l’avons depuis relancé pour une interview au chaud.
La solidarité médiatique
Pour rappel, un petit journal new‑yorkais qui tire à plus de 1,1 million d’exemplaires, créé en 1851, a aussi porté plainte contre Ursula, qui ne veut pas leur donner le fil de ses SMS.. Le New York Times fait partie d’un autre procès. Un peu de solidarité les amis avec les confrères. Non ?
L’investigation est disponible
Pas d’excuse sur le travail de recherche puisque Frédéric Baldan, le lanceur d’alerte, a tout compulsé dans un livre « UrsulaGates. La compromission par les lobbys » qui raconte de manière merveilleusement bien étayé par des documents certifiés. Fatalement, Frédéric est lobbyiste. Il connaît la musique. Un vrai travail de journaliste d’investigation. Tout est prémâché.
Ne pas l’évoquer, c’est un véritable déni démocratique et un acte de solidarité avec les pouvoirs des lobbys pharmaceutiques et politiques. Dans tous les cas, c’est inacceptable…
Pietje Schramouille
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Chapô et illustration de BAM!