Ces petits mystères qui ne font pas les gros titres
Expiré"Certains petits mystères méritent mieux que des entrefilets dans une presse un peu trop oublieuse de sa première mission : informer"
"par h16"
"Certains petits mystères méritent mieux que des entrefilets dans une presse un peu trop oublieuse de sa première mission : informer"
"par h16"
Des chercheurs belges ont découvert récemment que le zinc et le sélénium pouvaient jouer un rôle-clé dans la progression de l’infection au sars-cov-2. Selon leur étude [1] démarrée en avril 2020 [2], une carence trop importante en ces nutriments dans le sang pourrait expliquer la gravité des symptômes, voire les décès du covid. Ce qu’on savait depuis longtemps.
La RTBF faisait le point sur la situation épidémiologique lors de l’émission « Le Parti Pris » sur Matin Première ce mardi 19 octobre 2021.
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Pour ce faire, la chaîne nationale a donc tout naturellement fait appel à des épidémiologistes.
- Sophie Lucas n'est pas épidémiologiste.
Elle est immunologue spécialisée dans les cancers.
https://www.md-universal.eu/images/FNRSNEWS113_art7.pdf
- Emmanuel André n'est pas épidémiologiste.
Il est spécialisé en microbiologie clinique.
https://www.linkedin.com/in/andreemmanuel/?locale=en_US
Un épidémiologiste, c'est un titre qui correspond à une formation dont vous trouverez le détail via le SIEP:
https://metiers.siep.be/metier/epidemiologiste/
Pour être épidémiologiste, il faut donc avoir suivi une formation diplômante délivrée par l'école de santé publique.
En janvier sur La Vérité du Moment, le directeur de l’Information et des Sports à la RTBF Jean-Pierre Jacqmin, affirmait à propos des experts « …on vérifie quelle est leur rigueur scientifique, quel est leur parcours et quelle est leur action réelle » : https://youtu.be/c397X8JkHGA?t=11
Pourtant, les épidémiologistes ne manquent pas en Belgique.
Matin Première aurait pu, par exemple, inviter Yves Coppieters…
à moins que l’avis des invités ne prime sur leurs compétences.
Il semble donc qu’en Belgique il y a deux possibilités pour obtenir son diplôme :
Faire des études … ou être invité à la RTBF.
Par BAM!-DETOX
* BAM!-DETOX rassemble des professeurs d’université, des médecins, des personnes travaillant dans le domaine pharmaceutique et médical ainsi que des journalistes indépendants. BAM!-DETOX a pour objectif d’analyser et de vérifier les informations diffusées dans les médias et les réseaux sociaux.
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"Dans quel type de société vivons-nous aujourd’hui pour que le smartphone soit devenu indispensable pour participer et organiser un évènement ? Dans quel type de société vivons-nous aujourd’hui pour que notre participation à la collectivité soit conditionnée par un téléphone ?"
"La perturbation des services de santé due au Covid a anéanti des années de lutte contre la tuberculose dont les décès sont repartis à la hausse pour la première fois en plus de dix ans, a alerté l'OMS jeudi."
Les vaccins sont actuellement l’approche stratégique principale contre le covid dans le monde. Selon le discours officiel actuel, l’émanation de nouveaux cas se produit dans les régions où le taux de vaccination est faible. Est-ce vraiment le cas ? Selon une étude récente publiée par le European Journal of Epidemiology[1], le taux de vaccination n’est pas corrélé au nombre de cas de covid. Conclusion des chercheurs : le discours qui soutient que les faibles taux de vaccination sont liés aux lieux importants de contamination est faux. Le discours officiel sera-t-il modifié en fonction de la réalité sur le terrain analysée de manière scientifique ?
En France, l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) reprend, suite aux échecs vaccinaux avec Johnson & Johnson (J&J) confirmés par elle-même, les recommandations de la Haute autorité de la santé (HAS) et du Center for Disease Control (CDC) américain d’une dose de rappel aux vaccins à ARNm pour les « primovaccinés » J&J. Le passage en force des vaccins à ARNm se concrétise.
Lors d’une interview en live sur BAM, Pedro Facon, commissaire COVID du gouvernement fédéral, affirmait que les études des firmes pharmaceutiques déposées auprès de l’EMA (European Medicine Agency) démontraient l’efficacité des vaccins COVID sur la diminution des infections et de la transmission.
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