Les tests PCR, un peu trop sensibles ?

Si la courbe des cas s’envole facilement, ce serait peut-être en partie lié à un autre facteur, la manière dont sont analysés les tests. Ces tests utilisent une méthode de détection directe du génome. Ils cherchent à détecter des morceaux d’ARN (un dérivé de l’ADN en quelque sorte) des agents infectieux ou parasitaires. Ils permettent de détecter de très faibles quantités d’agents pathogènes (qui peuvent causer une maladie) dans des prélèvements. L’action principale du test est répétée plusieurs fois, on parle de «cycles», devenant plus «sensibles» à la présence de fragment du virus, au fur et à mesure que les cycles s’enchainent.

Le Pr Didier Raoult est-il un guignol ?

Rappelons que le Pr Raoult ne sort pas d’une BD d’Astérix. Professeur, il enseigne les maladies infectieuses à la faculté de médecine de Marseille et a dirigé depuis 1982 une centaine de thèses de médecine et doctorats d’université. Il est Docteur en médecine (spécialité : Microbiologie, Maladies infectieuses), et Directeur de l’IHU Méditerranée Infection à Marseille, où travaillent près de 800 personnes.

Nous avons reçu, par mail, de nombreux témoignages décrivant les arrestations de citoyens venus manifester au Cinquantenaire le 23 janvier dernier.

Certains ont été embarqués, privés de liberté pendant 5 heures, puis libérés, sans avoir signé le moindre papier administratif.
Nous avons décidé d'en publier un, sous forme de tribune anonyme.

Ceci ne vous a -t-il jamais intrigué? Nos compagnies d’énergie privées nous suggèrent sans arrêt de faire des économies sur nos consommations, ce qui est étrange pour des firmes basées sur la croissance et le profit.

J’entends en ce moment – et ce n’est pas nouveau – beaucoup de gens demander, à juste titre, « mais où est passée la gauche, dans la crise actuelle ? Pourquoi est-elle inaudible face au déferlement totalitaire et antisocial ? Qu’en est-il de son héritage contestataire vis-à-vis du pouvoir de l’État, des institutions et des intérêts économiques ? ». Car le problème est bien là : cette crise sert, en fait, à la quatrième révolution industrielle orchestrée en faveur des multinationales et des intérêts privés, qui se servent de l’État pour imposer leur régime, ce qui est la définition même du fascisme. En temps normal, cela devrait être l’occasion rêvée de la gauche antifasciste de mener à la fois son combat anticapitaliste et défendre son héritage antifasciste libertaire face à un État tentaculaire.

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