"Objectif:"

"Évaluer si le fait de recommander l'utilisation d'un masque chirurgical à l'extérieur du domicile réduit le risque d'infection par le SRAS-CoV-2 dans un environnement où les masques étaient rares et ne faisaient pas partie des mesures de santé publique recommandées."

"Amnesty International rend public un nouveau rapport intitulé Les maisons de repos dans l’angle mort. Les droits humains des personnes âgées pendant la pandémie de COVID-19 en Belgique. Ce document révèle toute une série de violations des droits humains — dont les droits à la santé, à la vie et à la non-discrimination — subies par des résident·e·s de maisons de repos et de maisons de repos et de soins (MR/MRS) en Belgique, dans le contexte de la pandémie de COVID-19, entre mars et octobre 2020, et dont les conséquences furent désastreuses."

"Tribune : Terrifiante succession des faits en cet automne sordide : il apparait ainsi successivement : l’interdiction de la prescription d’azithromycine chez les ainés en septembre et en octobre, un nouveau décret Rivotril pour euthanasie des résidents en EHPAD réactualisé dans le cadre des nouvelles mesures anticovid ! 
Sans parler bien sûr de l’enfermement nocturne qu’on n’avait pas vu depuis août 44, du scandale des masques inutiles et dangereux par infection bactérienne entre autres, des tests covid non fiables, base de la propagande éhontée du gouvernement."

"Catherine est déçue. Cette indépendante devait être opérée à l’épaule ce mardi. La veille, le service orthopédie de l’hôpital Ambroise Paré l’a appelée pour reporter l’intervention. L’hôpital est saturé en raison de l’épidémie de grippe et des nombreuses chutes dues au verglas. "Je comprends, il n’y a pas d’urgence vitale dans mon cas mais je n’ai pas encore de nouveau rendez-vous et ce n’est pas évident de s’organiser". Des histoires comme celle-là, d’autres patients les ont vécues et la directrice médicale de l’hôpital montois, Catherine Winant, le regrette bien : "Nous avons été surpris par l’afflux de patients la semaine dernière, mais depuis on s’est réorganisés car nous sommes très conscients que c’est difficile pour les patients d’avoir une intervention reprogrammée"."

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