Conclusion. A défaut de solutions, des propositions

«Entre la naïveté totale et le complotisme, il y a la place pour la lucidité», nous dit Didier Raoult, qu’on l’aime ou pas.
Après près d’un an d’hystérie politico-sanitaire, que faire ? On ne peut pas continuer ainsi. L’idée n’est pas de casser tout ce qui a été fait, tout n’est pas à jeter. Mais d’avoir l’honnêteté de reconnaître ce qui pourrait fonctionner, et ce qui n’a pas marché.

© BAM! Vick

Je m’étonne que ça n’ait pas fait tilt dans la population, que son franc ne soit pas tombé ou qu’elle n’ait pas connecté les points. Alors je vais reposer les termes de la situation pour que ça soit plus clair pour tout le monde. Attention, c’est une devinette !

Les leçons du passé : le plan « pandémie » de Douste-Blazy

Après l’épidémie de SRAS au début des années 2000, l’ancien ministre de la Santé Philippe Douste-Blazy avait lancé une alerte en 2005 face à la menace d’une pandémie virale. Un plan de lutte contre une épidémie virale a été établi. Tout était prêt (l’arrêt des vols d’avions dans les zones touchées, la réquisition des industries textiles pour faire près d’un milliard de masques…). Cette solution a été totalement ignorée !

Illustration © BAM! Vick

Nous avons reçu l’autorisation du Professeur Balique, lanceur d’alerte français, de publier cette lettre ouverte aux élus français sur le projet de vaccination obligatoire. Cette lettre nous a semblé intéressante à verser au débat, qui n’a pas lieu dans les médias traditionnels, sur la vaccination totale de la population. Le Professeur Balique y souligne les nombreuses lacunes scientifiques concernant non seulement l’efficacité des « vaccins » anticovid, mais surtout leur innocuité. Celui-ci fait le point sur des données actuelles sur le terrain qui devraient interpeller les décideurs politiques et les autorités de santé. Elles sont actuellement passées sous silence dans les médias et BAM! tient à s’en faire l’écho afin de briser l’omerta sur les innombrables effets secondaires graves de l’expérimentation vaccinale anticovid à l’échelle de populations entières.

En parcourant la liste des signataires d’une Carte Blanche du Vif du 26 janvier intitulée « L'absence de consensus sur la véracité des faits met en danger la santé publique »[1], nous sommes flattés d’apprendre que d’éminents professeurs d’université sont des lecteurs attentifs et réguliers de BAM!

Ceux qui s’interrogent, questionnent, proposent d’autres voies, ou manifestent leur désaccord sont immédiatement et quasiment systématiquement assimilés à des militants anti-vaccin, des marginaux, des conspirationnistes ou encore des sympathisants d’extrême droite. Sans jamais s’intéresser finalement au fond du discours alternatif qui est proposé, sans se dire qu’il pourrait être juste, ou qu’il pourrait permettre de nuancer le discours officiel, tout n’étant pas tout noir ni tout blanc, surtout en ces temps d’incertitude où personne ne détient de vérité absolue.
Le Dr Laurent Toubiana va même finir par ne plus vouloir intervenir tant il fait l’objet d’un quasi harcèlement pour les propos, pourtant censés, qu’il tient.

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