Nous consacrerons ce cinquième et dernier volet de la série à l’antithèse du journalisme : l’embedded journalism (en français : journalisme « embarqué », « intégré » ou « rattaché »). Dans le cadre d’un prisme de lecture européen de plus en plus conflictuel sur le monde (particulièrement envers la Russie) et du supposé rôle d’« apaisement » et de « responsabilité » qu’aurait à y jouer l’Union européenne (UE), la Commission européenne s’octroie de plus en plus le droit au recours à des moyens militaro-sécuritaires [1], à l’instar du journalisme embarqué. Cela peut dégouter les citoyens, mais ne devrait plus les étonner. La question que nous devons nous poser ici : les institutions européennes entendent-elles étendre le recours au journalisme embarqué à la société civile ?

Le Royaume-Uni est sous le choc après la divulgation par The Telegraph des "Lockdown Files": 100 000 messages WhatsApp échangés entre Boris Johnson, Matt Hancock, ancien secrétaire d’état à la Santé, Simon Case, secrétaire du cabinet, et d'autres fonctionnaires depuis le début de la pandémie de Covid-19 en 2020.
BAM! a décodé pour vous le Telegraph.

Le manque de transparence de la Commission européenne lors de l'achat de 4,2 milliards de doses de vaccins Covid a suscité l'indignation de plusieurs députés européens. Ceux-ci ont exigé des éclaircissements. En vain.

Dans une interview explosive réalisée par NTD[1], Jean Lassalle, homme politique atypique, ancien député, et ancien candidat à la présidentielle, explique que le vaccin l’a presque tué à cause de complications cardiaques apparues suite à l’injection. Il ne s'arrête pas là et nous apprend qu’Emmanuel Macron, le gouvernement, la majorité des députés ne sont pas vaccinés ! Pourtant, le président français[2] et les médias[3] ont affirmé le contraire, sans toutefois apporter d’images. Mediapart avait toutefois relevé des incohérences sur la date de vaccination du président[4][5].
Faut-il croire Macron ou Lassalle?
Serge Carfantan, Docteur agrégé de philosophie, nous donne son avis et en profite pour analyser la crise sanitaire avec subtilité et finesse.

Comment comprendre l’élection ce dimanche de Giorgia Meloni comme première ministre de la République italienne? C’est certes la première femme élue à ce poste, mais c’est aussi la première fois depuis la seconde guerre mondiale qu’une admiratrice déclarée de Mussolini prend la tête du gouvernement italien. Cette élection est-elle un accident inexplicable, ou est-elle le reflet d’un problème plus large en Europe?

Un rapport de la Cour des comptes européenne [1], la « gardienne des finances européennes », relève des manquements de la part de la présidente de la Commission européenne lors de l’acquisition des vaccins contre la Covid-19. BAM! a sélectionné les passages les plus « croustillants » pour ses lecteurs.

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