À l'instar des BB (black bloc) en France, groupes anonymes de véritables casseurs relativement bien identifiés par tous les services de police, un petit groupe de bras cassés que la presse officielle s'empresse de nommer "casseurs" pour satisfaire l'opinion publique, auraient à eux seuls justifié l'opération policière disproportionnée de ce samedi 1er mai.

Aujourd'hui j'ai envie de vous dire quelques vers
Parce que la poésie ça rend le réel moins vulgaire
Et qu’en ces temps de violence et de conflit
L’art est essentiel à nos vies.

Certains moyens inédits, jamais utilisés dans l’Histoire, sans fondement scientifique, jamais intégrés à aucun «plan pandémie» et dont peu ont fait l’objet d’études sérieuses pouvant leur conférer une réelle efficacité, ont été déployés, en France et dans le Monde, presque à l’unisson.

Les médecins de ville écartés et des pistes inexplorées. Pourquoi ?

Car finalement, le meilleur moyen de ne pas surcharger les hôpitaux qui sont en permanence au bord de la rupture, c’est de prendre en charge les malades en amont pour qu’ils n’arrivent pas jusqu’à l’hôpital, et surtout pas jusqu’en réanimation. Et c’est un des aspects qui n’a pas été assez mis en avant… et qui fait l’objet de potentiels scandales en puissance dont nous allons reparler un peu plus loin.

Les hôpitaux sont devenus le centre de toute l’attention, l’un des principaux indicateurs, presque plus encore que le risque réel du virus. Il ne serait pas primordial de trouver des traitements pour soigner la Covid, mais plutôt de ne pas engorger les services de réanimation. Images choc, tri des malades, report d’opération… à pieds joints dans l’émotion. Tant que les services de réanimation risquent d’être sous tension, les citoyens doivent rester enfermés, à contempler leur monde s’effondrer.

Sabine Moens de Fernig et Laurence Vandeputte redevenues citoyennes depuis qu’elles ont quitté leurs mandats politiques et leurs partis, interpellent la commune d’Uccle, en tant que pouvoir organisateur des écoles communales uccloises, à propos de l’application du port du masque pour les enfants dès 6 ans.

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