Admettons, il y a un nouveau virus qui débarque sur la planète et qui est décrit comme dangereux. Il « naît » quelque part, ni loin ni près de nos régions. Ok ?

Ceci est un billet d’humeur à destination des alarmistes qui donnent du sens à leur vie en menant une croisade au nom du « sanitairement correct ». Je l’écris à la suite d’un échange ayant eu lieu dans un groupe d’infirmiers et d’infirmières sur lequel on m’a demandé d’intervenir.

Concernant l'appel à la mobilisation du secteur culturel et à l'action collective du maintien des salles ouvertes.

Bravo pour le réveil de la profession, mais artistes et directeurs artistiques, profitez-en pour sortir du rôle du bon élève injustement puni.
Le professeur est incompétent, il faut le remplacer et refuser les règles qu'il a imposées.

Deux années,
Deux années que nos libertés sont bafouées,
deux années que nos vies sont sous cloches,
qu’une partie d’entre nous essaie d’exister tant bien que mal dans une angoisse permanente, une colère et une incompréhension totale.

Cette question, quand on lit l’éditorial de Béatrice Delvaux* dans Le Soir du mercredi 8 décembre , on est en droit de se la poser. Cette ode presque lyrique au vaccin intervient à un moment précis, celui où la population belge découvre avec stupeur que les personnes vaccinées attrapent le covid, font des formes graves du covid, transmettent le covid et remplissent les hôpitaux.

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