ANTOINE, VACCINÉ vs COVID, 30 ANS POUR TOUJOURS
Expiré « Je m'appelle Antoine, j'ai 30 ans.
Depuis le jeudi 16 décembre 2021, j’aurai toujours 30 ans.
Plus tôt dans l’année 2021, j’ai reçu 2 doses du vaccin contre le covid.
"Vaccin", c’est comme ça qu’ils appelaient ce qu’ils m’ont injecté.
Peu après l’injection, des symptômes bizarres apparurent:
parfois mes mains n’arrivaient plus à saisir les objets,
parfois mon champ de vision se brouillait, des taches noires ou floues apparaissaient,
parfois je n’arrivais plus à ouvrir la bouche pour mâcher.
On me rassurait, on me disait qu’il ne fallait pas s’inquiéter. Alors je ne m’inquiétais pas.
On me répétait que le vaccin covid était sûr et efficace. J’y croyais. J’avais confiance en la médecine. J’avais confiance en la science.
Mon bilan cardio-vasculaire était bon.
Le 8 décembre 2021, je fus soudain pris de convulsions, je n’ai pas compris ce qui m’arrivait. J’ai perdu connaissance.
Dans la soirée, aux urgences, après des examens, le verdict tomba: «rien de grave.»
On me répéta qu’il ne fallait pas m’inquiéter. On me rassura. J’y croyais. J’avais confiance en la médecine. Confiance en la science.
8 jours plus tard, le 16 décembre, en fin d’après-midi, soudain accablé de fatigue, je me fis couler un bain pour me relaxer.
D’abord, ça me fit du bien et puis, soudain… une douleur survint, les convulsions recommencèrent, si fortes qu’elles m’ont empêché de sortir de la baignoire, je me suis senti perdre connaissance, ne plus pouvoir respirer, couler, couler, couler…
Plus tard, ma compagne m’a trouvé dans la baignoire, les yeux ouverts, le corps bleu.
Noyé.
Aujourd'hui, c’est la voix de ma mère, Laurence, qui vous parle.
Si le mensonge qui m’a tué continue, je serai mort pour rien.
Si le mensonge qui nous tue continue, nous les morts du vaccin seront morts pour rien.
Si le mensonge continue, les vivants restent en sursis.
Alors comment stopper le mensonge ?
Comment alerter ?
Vous qui ne voulez pas entendre, entendez enfin, le déni ne mène à rien.
Vous qui avez cru, demandez-vous en quoi vous avez cru.
Vous qui, depuis votre vaccination, souffrez sans savoir pourquoi, ne restez pas seuls dans votre anonymat.
Rejoignez les associations* de ceux qui souffrent comme vous, mais qui, eux, ont compris pourquoi, qui s’entraident et cherchent ensemble des solutions pour être reconnus et soignés.
Vous à qui les médecins répètent que «jamais, oh grand jamais, le vaccin sûr et efficace n’est la cause de vos souffrances», tenez-leur tête à ces médecins, car au fond d’eux-mêmes ils savent que c’est n’est ni sûr, ni efficace.
Et vous, les médecins, pharmaciens, infirmiers, vétérinaires… oui, vous qui avez injecté, et qui au fond de vous-mêmes savez...
Parlez.
Parlez enfin.
Arrêtez de dire que c’est dans la tête des victimes, sondez d’abord la vôtre.
Parlez avant d’être rattrapés.
Rattrapés par votre conscience et par les victimes de plus en plus nombreuses.
Car, oui, de plus en plus de victimes parlent et s’organisent. Car des avocats les secondent. Car des scientifiques les aident à expliquer le pourquoi.
Et vous les scientifiques, vous les médecins qui avez résisté aux injonctions gouvernementales, vous qui luttez pour la vérité et qui en subissez les conséquences, ne vous découragez pas. Et, s’il vous plaît, ne vous disputez plus entre vous.
Et vous les victimes, faites attention à ne pas tomber dans l’entre-soi.
Continuez votre effort. Allez vers ceux qui ne vous croient pas encore.
Allez vers ceux qui ne vous écoutent pas, ils finiront pas le faire.
Continuez de parler, parler, parler, dites la vérité, toujours la vérité.
Sans complaisance pour votre état de victime.
Sans vous satisfaire de la supériorité morale dans laquelle la souffrance pourrait vous enfermer.
Avec patience, humilité, abnégation.
Pour qu’un jour vous soyez reconnues et soignées.
Ensemble, vous tous les vivants,
vous qui parlez et vous qui n’entendez pas encore,
vous qui avez compris et vous qui comprendrez un jour,
vous tous contribuerez à faire sortir la vérité.
Porte-voix.
Porte-vie.
Porte-voix de la vie.
Je m'appelle Antoine, j’aurai toujours 30 ans.
Par vous, par vos voix réunies, je serai toujours vivant.»
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Texte dit par
Laurence Paternoster, mère d'Antoine Honhon
Texte écrit et vidéo filmée, montée, réalisée par
Michel Caulea pour BAM!**
*Associations de victimes: aavicteam.com, verity-france.org, ouestmoncycle.com, ca200.be (dont Laurence Paternoster est membre), On a eu not' dose, aresaj.org, etc
**Vidéo prêtée à @TribuneLibreStephanieReynaud pour sa publication de témoignages de victimes des "vaccins" vs covid