Dans la sphère culturelle, de nombreuses voix s’élèvent aujourd'hui pour demander l'abrogation totale et définitive du "Covid Safe Ticket". Dans cette carte blanche qui est parue le 22-02-2022 dans la libre Belgique, 750 artistes et 335 lieux de culture se mobilisent pour signer un texte fort : refuser le CST c’est refuser un monde où contrôle numérique, divisions et exclusions se normalisent...Le CST c'est une mesure prise en désespoir de cause et en urgence, c'est un précédent dangereux à jeter pour toujours aux poubelles de l'Histoire.
La justice a tranché : le CST wallon n’est plus justifié
“Le tribunal de première instance de Namur a donné raison aux arguments de l’ASBL Notre Bon Droit. Le CST porte atteinte aux droits et libertés fondamentaux, sans plus aucune raison objective. C’est la mort prématurée du pass, avant même le passage en code jaune.“
La loi « pandémie » devant la cour constitutionnelle
Les Asbl « Notre Bon Droit » et « Grappe », ainsi qu’un citoyen ont déposé un recours en annulation contre la loi Pandémie devant la Cour constitutionnelle. Leur action dénonce les contours flous de cette loi prolongée fin janvier par le gouvernement, et les risques d’abus qui en découlent.
Contre les moineaux... des canons ?
Des parents allemands décident de ne plus envoyer leurs enfants à l’école, les autorités locales leur envoient un commando des forces spéciales !
Le jeudi 20 janvier 2022, les autorités de la ville d’Erlangen en Bavière (Allemagne), ont décidé de vider une « école illégale » autogérée par des parents d’élèves soucieux de protéger leurs enfants des effets néfastes liés aux mesures anti-covid [1]. Les autorités ont littéralement pris d’assaut le bâtiment à l’aide d’une unité anti-terroriste.
La voix de BAM! étouffée par la censure
Démocratie et libre expression vont de pair. La pluralité des opinions forge la liberté de presse. Ces assertions appartiennent-elles au monde d’hier ?
La propagande, le revers poli de la censure : le peuple, l’ennemi intérieur (Episode 3)
A l’épisode précédent nous avons vu qu’il y déjà quelques années que les institutions européennes œuvrent à la construction propagandiste d’un ennemi extérieur, en l’occurrence la Russie, qui sert à justifier sa politique de censure, qu’elles intitulent « lutte contre la désinformation ». C’est un exemple qui montre comment propagande et censure travaillent main dans la main. Mais la propagande et, in fine, la censure de l’UE ne visent pas qu’un ennemi extérieur, elles se retournent contre le peuple, en catégorisant comme danger intérieur, toujours, d’abord qu’une frange dissidente de la population. Déjà en 2018, la Commission Européenne identifiait l’hésitation vaccinale comme un danger, dans sa communication « Lutter contre la désinformation en ligne : une approche européenne» [1].