Après une tentative désastreuse de gérer la “crise COVID” et son échec à désigner son origine, on aurait pu croire que l’OMS aurait fait preuve de plus de modestie, mais il n’en est rien.
En manque de crise susceptible de légitimer son emprise, l’OMS a trouvé un nouveau prétexte: Le Climat!
BAM! vous décrit les enjeux d’une tentative de prise de pouvoir mondial.

Dans un précédent article sur l’identité numérique[1], BAM! attirait l’attention des lecteurs sur les dangers du projet européen d’identité numérique (eIDAS2).
Un récent sondage révèle que plus de 70% des Belges ne voient pas d’un bon œil l’intégration de la carte d’identité dans leurs smartphones. Pour le permis de conduire,  le rejet atteint les 79%.
Ces chiffres reflètent surtout une méfiance croissante envers la centralisation des données privées à l’ère de la transition numérique.

Star incontestée pendant plus de deux ans, le Covid ne semble plus faire recette. L’arrivée d’un nouveau variant n’a plus l’air d’inquiéter grand monde. Au sein de la classe politique, on sent bien que le cœur n’y est plus. Et lorsqu’Yves Van Laethem, le porte-parole interfédéral Covid, explique “On s'en fout du nombre de cas”[1] ou que Frank Vandenbroucke a, pour l’instant, renoncé à l'obligation vaccinale du personnel soignant, on se dit que même au gouvernement le ton a changé.

Que s’est-il passé? Quelles peuvent-être les raisons de ce revirement? Repli stratégique ou capitulation sans condition? Nous allons tenter de répondre à ces questions…

Validé par l’Union Européenne samedi 23 avril[1] dernier, le Digital Services Act contraindra, à partir du 1er janvier 2024, les réseaux sociaux et moteurs de recherche à censurer encore plus qu'ils le font actuellement, sous peine de lourdes amendes. Pourquoi l'Union Européenne entreprend-elle de restreindre la liberté d'expression et d’accroître la censure en ligne ?

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