Un collectif de résistants bruxellois a récemment lancé une campagne d’information “low-tech” pour permettre à la population d’exprimer un choix éclairé devant la possibilité de se faire vacciner contre le covid. Le consentement éclairé est inscrit dans la législation belge [1], mais sur le terrain, les campagnes médiatiques, politiques et médicales qui ont jalonné la crise covid l’ont bafoué.

© Renaud Cagna

Ce samedi 19 février, l'annuel Carnaval Sauvage a été interrompu par de violentes interventions policières, comme en témoignent les participants. Au vu du contexte - un événement festif, on s'interroge sur la proportionnalité et la nécessité de ces mesures policières.

Alors que Franck Vandenbroucke semble vouloir faire le forcing auprès de la Commission Santé pour mettre à l’ordre du jour du vote au Parlement la loi sur la vaccination obligatoire des professionnels des soins de santé, nous publions ici les points importants du projet de loi [1] qui ne fait pas moins de 154 pages…

"Rappelons-nous que le délire paranoïaque utilise la persécution, l’interprétation et la tyrannie de l’idéal. La persécution est au cœur de ce qui est divulgué : l’autre est en puissance mon ennemi, car il est en puissance un malade qui va me contaminer. Cet ennemi peut être invisible, et même au sein de l’intime et de la famille. Cette persécution entraîne méfiance, peur et culpabilité (ceux qui dénoncent le bien-fondé de mesures dogmatiques totalement arbitraires et parfois confinant à l’absurde sont désignés comme coupables)."

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