Après l’audition des trente deux experts désignés par la Commission Santé, le débat sur l’obligation vaccinale se poursuit au Parlement. Si les circonstances compromettent l’entrée en vigueur d’une obligation vaccinale à court terme, il est possible que certains politiques tentent de se donner les moyens de rendre obligatoire un vaccin “en cas d’urgence”. La plupart des experts et des politiques admettent maintenant que l’obligation vaccinale arrive trop tard… ce qui peut laisser sous-entendre qu’il faudrait imposer une vaccination beaucoup plus rapidement à l’avenir. « Le débat actuel, c’est essentiellement sur l’avenir qu’il porte », reconnaissait d’ailleurs Catherine Fonck[1].

Le vaccin anticovid, ses enjeux économiques et sanitaires ont fait couler beaucoup d’encre depuis le début de cette crise sanitaire. Jamais aucun vaccin n’aura été développé aussi rapidement, puisque les premiers ont été approuvés par l’UE dès le mois de janvier 2021. Or, de nombreuses questions subsistent concernant la stratégie de vaccination, la sécurité de ces vaccins, leur durée très courte de développement, le bien-fondé de la vaccination de masse, le bien-fondé de la vaccination des enfants, le déni des autres stratégies possibles (prise en compte de l’immunité naturelle, autres stratégies de prévention, traitements contre le covid), etc. Près de 6 mois après le démarrage de la campagne de vaccination, il est temps de faire le point sur la situation. C’est l’objet de cette série d’articles sans concession.

La stratégie vaccinale belge (mais pas seulement) repose également sur le déni de l’expérience de décennies de vaccination de masse, comme l’induction de la prévalence de souches résistantes à l’immunité vaccinale[1],des effets d’augmentation de pathologies associées aux souches vaccinales inattendues[2] ou le déplacement des manifestations symptomatiques dans des populations initialement peu touchées[3].

L'heure des comptes COVID arrive : 300 millions € de gâchis, soit autant de lits et personnel soignant. Alors que les médias nous annonçaient il y a quelques semaines la destructions de plusieurs stocks stratégiques de matériel COVID pour une valeur de près de 100 millions d'euros, Voici maintenant la destruction d' 1,3 millions de doses de vaccins à 20 €/dose = 26 million d’euros,... Et ce n'est pas fini, car après cela, la Belgique comptera encore 9 millions de doses à écouler, soit pour une valeur de près de 180 millions d'euros.

Vice‑Premier ministre, ministre de la Santé et figure emblématique du SP redécoré “Vooruit”, Frank Vandenbroucke multiplie les casseroles. Dernière affaire en date: Medista[1][2]. Véritable polar où l’on croise des agents du Mossad ou Deloitte Consulting, Frank Vandenbroucke y joue son rôle de prédilection: l’opacité et la dissimulation. Malgré la gravité des faits, les principaux médias belges restent muets. Emeric s'interroge sur ce silence.

Après le DSA, c’est le vote fédéral du CADA qui est passé sous silence par les journalistes de la presse autorisée…
Tous les journalistes?! Non, un seul résiste encore à l’envahissant gouvernement.

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