Avec plusieurs centaines de recours contestant les arrêtés "corona" de la Ministre de l’Intérieur ainsi que l’avis de section législative pour la loi pandémie, on ose espérer que le Conseil d’État exerce en toute indépendance et impartialité les missions visant à garantir l’État de droit dont il est chargé. En particulier prévenir que le gouvernement ne viole la Constitution ou ne s’approprie des prérogatives réservées au pouvoir législatif (Parlement).

En Belgique, le malaise enfle dans le cœur d’une partie des citoyens, comme l’illustrent, tout dernièrement, les marches « pour la liberté ». Unis dans un même profond malaise, des citoyens de nombreux pays européens manifestent leur ras-le-bol des mesures de gestion de crise sanitaire.

A l’heure où les Bruxellois commencent à administrer le « vaccin anti-covid » aux enfants de 5 à 11 ans et où le débat sur l’obligation vaccinale fait rage dans l’Union européenne, le Japon fait résolument figure d’exception avec une politique vaccinale fondée sur l’absence de coercition et de discrimination.

L’ATIH, l’agence technique de l’information sur l’hospitalisation en France, a publié une synthèse « des prises en charges hospitalières de la COVID-19 en 2020 » [1]. Des chiffres détonants au regard du narratif. Sans remettre en question que des hôpitaux aient été surchargés à certaines périodes (pics épidémiques, concentrations géographiques, hospitalisations plus longues), cette analyse remet en perspective le covid par rapport aux autres pathologies et invite à regarder le phénomène sous un angle plus rationnel, au-delà du prisme de la peur.

Le 22 septembre dernier, des institutions culturelles, des théâtres, salles de spectacles, cinémas et associations d'artistes ont signé une lettre ouverte qu'ils ont envoyée aux ministres concernés, signifiant leur désaccord total à propos de l’instauration d’un pass sanitaire (le « COVID SAFE TICKET ») et le refus pur et simple de son application.

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